Amandine ILLESTA

La résolution d’un écran est une caractéristique importante dans le choix de sa solution. Permet-il d’afficher des images en HD, en 4K UHD voir en 8 K ? Cependant, un écran LED ne fonctionne pas exactement de la même manière qu’un écran standard LCD. Le rapport à la résolution en est donc modifié et évalué différemment. Résolution VS définition, siginification des termes Quand on parle de la qualité d’image d’un écran, deux termes sont souvent utilisés et confondus entre eux : la définition et la résolution. Pourtant, il existe de petites différences entre ces deux caractéristiques. Celle, la plus, courante est la définition. La définition La définition d’un écran détermine le nombre de pixels présent à l’écran. Elle se calcule en mesurant le nombre de pixels horizontaux et verticaux. On obtient ainsi les standards connus du grand public, le HD pour une définition de 1920 par 1080 pixels et le 4k UHD en 3 840 par 2 160 pixels. Elle n’est en rien liée à la taille de la dalle. En effet, il existe des écran HD de toutes les tailles. La résolution La résolution fera quant à elle référence à la densité de pixel. Elle fait donc le rapport entre la définition et la taille de l’écran. On l’exprime généralement en pixel par pouce ou Dot per Inch (DPI). Ainsi, plus ce nombre sera élevé plus la densité de pixel sera importante. Cette notion ne s’applique pas seulement à un écran, mais est également valable pour qualifier une image. Elle est notamment importante dans le monde de l’impression. Ainsi un écran 4k de 120 cm de diagonal n’aura pas la même résolution qu’un écran 4k de 80cm de diagonale.  C’est donc la résolution qui aura un effet sur le confort de lecture. En effet, comme cette notion est en lien avec la taille de la surface d’affichage elle impactera par conséquence la taille des pixels pour couvrir cette surface. C’est pourquoi sur un écran faible résolution il y a une plus grande probabilité de voir les pixels. Cependant, cela sera à évaluer comparativement à la distance de lecture. En effet, plus un écran sera visible de près, plus il aura besoin d’afficher des pixels fins et donc de proposer une haute résolution, et vice-versa. Cas des écrans LED, lien et différences entre pixel et PITCH Une des caractéristiques majeures d’un écran LED est son pitch. Il aura un impact important sur le rendu visuel de l’image en fonction de la distance de visibilité. Comme évoqué précédemment, un pixel représente un point lumineux, une information composant une image. À l’écran, on le résume à une information lumineuse composant la dalle d’affichage. Généralement, sur un écran LED, chaque Pixel est représenté par une LED. Cela peut varier avec la notion de pitch virtuel. Le pitch d’un écran géant correspond quant à lui à la distance entre le centre de chaque LED, horizontalement et verticalement. Concrètement, c’est donc la distance qui sépare chaque pixel. On l’appelle également, pixel pitch. Le Pitch sera donc en corrélation directe avec la densité de pixel et donc la résolution de l’écran.  En effet, plus le pitch sera grand, plus il y aura de distance en les LED. Donc il en faudra moins pour couvrir une surface. Inversement, plus le pitch sera fin plus la densité de LED sera importante. Comment se traduit la résolution d’un écran LED Le pitch influencera donc directement le nombre LED et donc de pixel présent sur l’écran LED. Ors, on ne détermine pas le pitch d’un écran dans un objectif d’obtenir une certaine définition. En effet, on détermine le pitch afin que la résolution de l’écran corresponde à sa distance de visibilité. Un écran vu à 6-10 m n’aura pas besoin d’avoir une image aussi fine qu’un écran vu à 1 ou 2 m de distance. C’est pourquoi la résolution d’un écran LED est très variable d’un écran à l’autre. Celle-ci est par ailleurs rarement corrélée à la taille de l’écran. En effet, un écran de grande taille est généralement fait pour être vu de loin et aura, dont un pitch plus large. Par exemple, un écran de 6 m² en P6 a généralement une définition de base de 500px/333px et une résolution 27 750 px/m². Il est cependant possible d’y afficher des fichiers avec une résolution plus élevée, ceux-ci sont alors recalculé pour la diffusion à l’écran. Enfin, il est également possible d’obtenir de très hautes résolutions avec un écran LED. En effet les nouvelles solution mini LED et LED COB permettent la réalisation d’écran 4k voir 8 k, et ce, même au format téléviseur. Le tout en bénéficiant des autres avantages des écrans LED. L’écran LED une résolution fléxible pour une défintion adaptée On l’a vu, un écran LED ne se définit pas de prime abord par sa définition contrairement aux solutions LCD. On définira en premier le Pitch en fonction de l’installation et du type de visibilité souhaité. Il est ensuite possible d’affiner ce pitch afin d’obtenir une meilleure résolution. Cela aura alors également un impact sur le prix final et sur la consommation énergétique de l’écran.  C’est pourquoi nous veillons à toujours vous conseiller le pitch le plus adapté. Celui qui offrira à nos clients le meilleur équilibre entre qualité d’image et son budget. Si vous avez des projets ou des questions, nos équipes se feront un plaisir de vous répondre. sources : image, https://pixabay.com/images/id-7576994/article : Quelle différence entre définition et résolution d’écran ?

Un écran LED est quelque chose de complexe, mais dont la plus grande qualité est son côté modulaire. Il peut prendre toutes les tailles et toutes les formes. Cette caractéristique repose sur sa construction en plusieurs éléments imbriqués entre eux. On parle alors de box, de module ou encore de dalle LED. Ce sont les éléments de base de la conception d’un écran LED. Quelles différences y a-t-il entre eux, comment cela fonction et quel est l’intérêt de cette conception, sont les questions que nous allons aborder dans cet article. Définition et fonctionnement des notions de box, module et de dalle LED Un écran LED standard se compose donc de différents éléments. Tout d’abord, il y a la dalle LED qui va représenter l’espace affichage de l’image. Elle est souvent confondue à tort avec le module.  Un module sera le composant de base de la dalle. Il intègre tous les éléments de produire une image. Il est d’un format réduit généralement en 128 mm et 320 mm de côté et se compose sur une face des LED et de l’autre de la carte électronique qui va gérer leur affichage. On peut y ajouter des éléments notamment pour augmenter sa résistance ou encore son étanchéité. Les modules sont ensuite alors regroupés entre eux pour former des box.  Une box se compose généralement de 4 à 9 modules. Cependant, des variantes peuvent exister. En effet, les box peuvent être de différentes formes y compris en angle. Les box sont alors assemblées entre elles pour former la dalle LED. Deux types de connexion les relient ensuite en elles. Tout d’abord l’alimentation pour lui permettre de fonctionner, puis le câble de données qui transmet les informations de pilotage du media player.  Intéret de cette organisation On pourrait se demander de prime abord pourquoi ne pas fabriquer directement une dalle LED sans passer par la conception de modules et de box. Cependant ce fonctionnement imbriqué entre module et box offre de nombreux avantages. Cela offre tout d’abord plus de flexibilité d’installation. C’est grâce à ce fonctionnement par bloc qu’on peut réaliser des écrans complètement modulaires. De plus, cela offre plus de stabilité de connexion avec des circuits électroniques plus court. En effet, cela réduit les risques de chauffe grâce à une meilleure répartition. Enfin, l’atout majeur se situe au niveau de la maintenance. Bien qu’un écran LED soit généralement plus stable et possède une longévité plus importante (en moyenne 5 à 10 ans), cela permet en cas de panne sur une LED, ou une partie de l’écran de ne pas remplacer toute la dalle, mais bien que le module concerné. Répercution côté client Au final ces distinctions entre module, box et dalle LED n’a que peu de répercussion côté client. En effet, cela n’aura pas d’impact sur l’image globale finale. C’est-à-dire ce qui est affiché par la dalle. Cela permet juste de pouvoir réaliser des écrans réellement sur mesure. L’intérêt de comprendre ces nuances se situe dans la lecture de la fiche technique. En effet, le poids est donné généralement soi par mètre carré soit par box. On trouve généralement la résolution, soit pour un module, soit pour une box. Module, box, dalle vous savez tout ! Un écran LED se compose donc d’une dalle qui affiche l’image globale. Elle, est-elle même composée de box qui sont eux même composés de module. C’est au niveau de ces derniers que les LED sont pilotées pour composer l’image. Les différentes box et modules sont quant à eux pilotés au niveau du media player, pour recomposer l’image finale. Cependant, il existe des nuances et fonctionnements différents selon les produits. C’est le cas par exemple de notre X7-AIR. Connaitre ces éléments un grand pas vers la compréhension du fonctionnement d’un écran LED, mais pas nécessaire coté client. En effet, le résultat sera le même. Vous aurez la solution d’affichage dynamique souhaité. Vous pourrez profiter de la grande liberté de réalisation offerte par les solutions LED. Ce fonctionnement modulaire permet de réaliser des écrans de toutes tailles et toutes formes. Si vous avez un projet d’écran ou des question liées à leur fonctionnement, n’hésitez pas à nous contacter. Notre équipe se fera un plaisir de vous répondre.

L’argument du HDR est de plus en plus avancé dans le monde du multimédia. On le retrouve dans le cinéma, sur les téléviseurs, mais également dans le domaine du jeu vidéo et désormais sur les smartphones. Cet acronyme fait référence en effet, à une meilleure qualité d’image, mais que signifie-t ‘il réellement ? Comment se traduit réellement cette qualité visuelle accrue. Définition et origine du HDR La dénomination de HDR nous vient de l’abréviation de l’anglais High Dynamic Range, traduit littéralement grande plage dynamique. Ce qui on vous l’accorde n’est pas très évocateur. Le HDR fait référence à un traitement de l’image afin qu’elle contienne plus de détails. Ce traitement est employé depuis des années dans l’univers de la photographie. Pour cela, il combinait plusieurs fichiers à exposition différente afin d’obtenir une image plus lumineuse et plus contrastée.  L’objectif du HDR appliqué aux écrans est le même, mais le procédé est différent. Le but étant de se rapprocher le plus possible de ce que perçoit l’œil humain. Pour cela, les écrans proposent un plus grand écart de luminance géré de manière dynamique afin que l’image contienne plus d’informations lumineuses. L’image est ainsi plus contrastée et plus colorée. On l’oppose désormais au SDR (standard dynamic range) pour le rendu des écrans classique et ancienne génération. La différence avec un traitement HDR de l’image Afin d’obtenir une image compatible HDR un écran va jouer sur deux facteurs principalement la luminance (en candela/m² ou en nits) ainsi que la colorimétrie. Un écran HDR doit pouvoir proposer une plus grande variation de luminosité à l’image. Selon l’Alliance UHD, il doit proposer un pic de luminosité d’au moins 1000 nits pour des noirs quasi-complets à moins de 0,5 nits. En SDR, le pic est environ à 120 nits. Ceci permet d’offrir plus de différence d’intensité lumineuse. La lumière issue du rayon du soleil traversant une fenêtre ne sera la même que celle d’un éclairage artificiel à l’image.  De plus, ce plus grand niveau de gestion de la lumière permet également de mieux travailler les tons sombres. Les scènes dans l’obscurité seront donc plus détaillées. On obtient ainsi moins de zones surexposées, de zones bouchées et ou de noirs ternes. Enfin, le traitement HDR de l’image intervient également sur sa colorimétrie. En effet toujours selon l’UHD Alliance un écran dit HDR doit pouvoir proposer l’intégralité des couleurs situées à l’intérieur du triangle gamut au moins 25% plus étendu qu’en SDR. Un écran avec mention n’offre pas seulement plus de saturation, mais également plus de nuances et de teintes. Un véritable atout ou Argument commercial La problématique avec la diffusion en HDR est que tous les éléments de la chaîne doivent être compatibles. Cela implique que non seulement l’écran doit pouvoir proposer l’affichage HDR, mais que la conception du fichier le soit également. Fort heureusement, actuellement, on conçoit majoritairement les médias en HDR. Les derniers en dates sont ailleurs les jeux vidéo. Lorsque qu’un média est diffusé en HDR, on obtient un reel gain en qualité d’image comme évoqué précédemment. Cependant, il existe actuellement plusieurs normes HDR avec un manque de réglementation. Ceci peut donc être difficile à aborder pour les consommateurs. Certains fabricants en profitent d’ailleurs et utilise la mention HDR à but purement commercial. Dans ce cas, elle indique principalement que l’écran est capable de recevoir des sources en HDR, mais sans forcément en proposer le niveau de qualité d’image. Les performances finales peuvent ainsi varier du simple au double, surtout en matière de luminosité entre deux écrans comportant cette mention. L’Ultra HD Alliance qui unit plusieurs fabricants et des professionnels du monde du cinéma se sont par ailleurs mis d’accord sur certaines normes, l’HDR10 et l’HDR10+. Celles-ci garantissent le niveau de qualité attendu pour un écran dit HDR. LE HDR appliqué aux écran LED Si l’on se base sur les critères de luminance, d’origine les écrans LED sont compatibles HDR. En effet, les écrans LED sont reconnus pour leur haut niveau de luminosité. Cependant, le facteur limitants fut la capacité à lire les sources. De plus, c’est seulement avec le développement des LED nouvelle génération, SMD et COB, qu’elles sont capables de produire beaucoup plus de nuances de couleurs. Depuis quelques années maintenant les écrans LED à pitch fin et ultra haute définition sont capables de produire des images en HDR. Le système de pilotage des LED traduit les sources pour qu’elles reproduisent toutes les nuances visuelles du média. En effet, les solutions LED sont techniquement les meilleures solutions pour proposer le niveau de contraste et de couleurs nécessaire à ce type de rendu. LE HDR vers une nouvelle norme La production de médias en HDR est de plus en plus fréquente. En effet, le rendu visuel est tel que les consommateurs comme les fabricants le plébiscite. C’est donc devenu un argument de vente différenciant et pouvant attester de la qualité d’image produite. Cependant face à la multiplication des normes et du flou autour de cette mention nous vous recommandons d’être attentif au niveau de luminosité et de couleur proposé par l’écran.  Chez Winlight, nous sommes experts de l’écran LED. Nous vous proposons des solutions d’écran compatibles HDR au sein de notre gamme WinCine. Nos écrans utilisent le meilleur de la technologie LED COB pour produire une qualité d’image époustouflante. Si vous avez des questions ou un besoin, n’hésitez pas à nous contacter nos équipes se feront un plaisir de vous renseigner.

Le terme d’écran LED revient de plus en plus souvent quand on parle de solutions d’affichage. La difficulté réside dans le fait qu’il peut parfois faire référence à deux outils différents dans un souci de simplification. En effet, il ne faut pas confondre écran LED et téléviseur LED ou LCD LED. Comme nous l’avons déjà évoqué dans d’autres articles, ce sont deux solutions différentes avec un fonctionnement très différents également. Ici, nous allons nous attacher à ce qu’est un écran à LED en tant que tel, comment ça fonctionne et quels sont ses avantages. Qu’est ce qu’un écran à LED Ce type d’écran est défini par l’utilisation des LED en tant que composant direct de l’image. Celles-ci qui vont jouer le rôle de pixel ou de sous-pixel. Ces LED peuvent prendre plusieurs formes selon la taille et la résolution de l’écran : DIP, SMD, COB ou encore MicroLED. Elles sont ensuite associées pour composer des modules qui sont assemblés pour former des écrans. Ils ne sont donc pas dépendants d’une vitre de diffusion. C’est pourquoi il est possible de réaliser des écrans LED de toute taille et de toute forme. De plus, les écrans LED sont des écrans dits émissifs. Cela signifie que c’est l’image elle-même qui émet de la lumière. À l’inverse des solutions LCD, comme les téléviseurs LED, dont le mode de fonctionnement est dit passif ou par diffusion. Dans ce cas, les LED sont ici utilisées à des fins de rétroéclairage dont la lumière est ensuite polarisée. Ils ont donc besoin d’une plaque de diffusion. Cette différence de fonctionnement, influencera beaucoup la luminosité de l’écran, mais également la qualité de l’image finale. Un écran LED, comment ça marche ? Comme évoqué, précédemment, le fonctionnement d’un écran géant LED repose sur l’assemblage de module LED. Ces modules sont ensuite regroupés en box dotée de carte de pilotage. Elles sont chargées de gérer l’animation des LED pour composer l’image. On effectue alors un mapping des box afin de déterminer quelle partie de l’image chacune d’entre elles doit afficher. Enfin, comme pour tout écran, la solution LED doit ensuite être reliée à une source. Selon l’utilisation prévue, cette source pourra être, une clé USB, un PC muni d’un logiciel de pilotage, un décodeur, etc.  Les avantages offerts par ces écrans Les écrans LED, grâce à leur structure particulière offrent de nombreux avantages. Tout d’abord, ils ne sont pas dépendants d’une dalle à cristaux liquides. Ils offrent donc une extrême modularité de taille et de forme. Historiquement utilisés pour les écrans géants, ils peuvent désormais être utilisés pour des formats plus réduits comme des téléviseurs.  De plus, la particularité d’être un écran émissif permet à cette solution d’offrir une qualité d’image supérieure. En effet, il est possible de piloter chaque pixel individuellement. Les écrans LED offrent ainsi une profondeur de contraste plus importante et une palette de couleurs plus large et plus vive. Par ailleurs, ils offrent une meilleure luminosité et ne sont pas sensibles à l’effet de reflet. Enfin, comme il n’y a pas de dalle de diffusion, il n’y a pas de soucis de rémanence de l’image. La LED est soit allumée soit éteinte. Du coup, c’est quoi un écran LED ? Un écran LED est donc une solution de diffusion émissive ou chaque LED joue le rôle pixel, ou de sous-pixel. Il offre l’avantage de s’affranchir des contraintes du LCD pour offrir plus de flexibilité et une meilleure qualité d’image. C’est une solution complètement modulaire qui permet à l’écran de pouvoir être assemblé ou divisé. Ces solutions ont longtemps été limitées par la taille des LED qui ne permettaient pas les résolutions fines. Ainsi, ils étaient principalement utilisés pour la réalisation d’écran géant. Cependant le progrès récent dans les solutions microLED et COB permettent de proposer aujourd’hui des écrans LED qui rivalisent, voir supplantent le LCD sur les plus petits formats. Si ces solutions sont encore onéreuses, elles vont sans nul doute se démocratiser dans les années à venir. Les écrans LED devraient donc peu à peu investir les foyers. Pour découvrir toutes nos solutions d’écran LED hésitez pas à parcourir notre site !

Le secteur des écrans LED ne cesse d’évoluer au fur et mesure que la technologie LED elle-même évolue. Ces dernières années, les constructeurs travaillent dans le sens d’une miniaturisation du pitch et la recherche d’écrans haute résolution. L’objectif est de venir concurrencer les solutions LCD sur des écrans plus petits format. On distingue deux technologies : le LED classique grâce à une miniaturisation des diodes avec les écrans microLED et miniLED et la solution LED COB. Cette dernière étant déjà présente depuis plusieurs années dans le domaine de l’éclairage. Qu’est ce que la technologie LED COB Le nom de LED COB vient de l’abréviation anglaise « chip on board » qu’on pourrait traduire comme puce, ou LED, directement montée sur la plaque. Dans les faits, ce sont plusieurs minuscules LED montées en semble sur un même substrat généralement une plaque (qui varie selon l’usage) afin de fonctionner ensemble comme une source lumineuse unique. Elles sont ensuite encapsulées.  Cette technologie permet d’offrir une plus grande intensité lumineuse à courant équivalent et pour une taille plus réduite. Elle offre donc un compromis idéal entre réduction de consommation d’énergie et gain de place. De plus, ses solutions peuvent offrir un meilleur angle de rayonnement selon la lentille utilisé pour l’encapsuler. Enfin, elles sont ainsi plus résistantes et favorisent une meilleure dissipation de la chaleur.  La technologie COB fait donc partie des solutions les plus avancées sur le marché de LED. Son recours est déjà très fréquent dans le secteur de l’éclairage notamment pour ses qualités de réduction de consommation énergétique et sa polyvalence. LES Écrans à LED COB, quels sont les avantages ? Il n’a pas fallu longtemps pour que le marché des écrans LED s’approprie également cette technologie. Dans le cadre des écrans, les LED COB sont généralement directement soudées sur le revers des cartes de pilotages. Elles sont donc directement connectées au circuit intégré (IC). Cet ensemble permet ainsi de réaliser des modules composant ensuite l’écran LED. Ces écrans nouvelle génération permettent donc de rendre encore plus performantes les solutions écrans LED. L’atout majeur de la solution COB est sa résistance propice au format miniature. Là où les miniLED sont généralement fragile, les LED COB, quant à elles, sont encapsulées dans une résine époxy qui les protège. Elles sont ainsi moins sensibles aux chocs que les solutions classiques. Cette solution est donc très intéressante pour la réalisation d’écran à pitch fin.  De plus, le recours à cette résine permet également un rayonnement complet de la LED. Ce qui procure aux solutions COB un champ de vision généralement plus large. Tout comme pour l’éclairage, les écrans LED COB profitent des qualités de dissipation de chaleur et de faible consommation d’énergie de cette technologie. Enfin comme les LED sont directement montée sur les cartes cela permet de profiter d’une connectivité plus stable, mais aussi d’un gain de place non-négligeable. Les écrans LED COB offrent donc généralement une plus grande finesse. LE LED COB une solution pour des écrans LED haute résolution qui viennent concurencer le LCD Pour rappel, il est important de ne pas confondre les écrans LED avec les solutions LCD LED, téléviseur LED ou encore moniteurs LED parfois appelés à tort écran LED. Ce sont deux technologies différentes. Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire notre article sur les différents types d’écrans. Le recours aux solutions COB est généralement plus facile à réaliser et moins fragile. La technologie COB étant plus ancienne que le microLED, ce sont généralement des écrans LED plus abordable. De plus, comparativement, au LCD, ils offrent tous les avantages du LED. Liberté de taille et de forme  Couleurs plus vives  Contraste plus profond Sans bordure Durée de vie accrue. Enfin, les solutions COB se prêtent bien à l’utilisation du pitch virtuel. En effet chaque LED COB étant elle-même composée de plusieurs LED minuscules. Le pitch virtuel est le fait de contrôler individuellement la couleur des LED adjacentes pour visuellement donner une meilleure résolution. Cela permet d’offrir une plus haute définition sans réduire le pitch physique, et donc à moindre coût.  LEs écrans LED bientôt dans nos foyers Les écrans LED ne se limitent donc plus au format géant. Il est désormais possible de proposer des solutions ultra haute résolution, adaptées à une visibilité de proximité. Contrairement au LCD, ils sont sans limite de taille, sans bordure et offrent une plus belle qualité d’image. De plus, la technologie COB, apporte également des avantages considérables. Ces solutions sont plus résistantes, plus fines et ont une consommation d’énergie/cm² plus faible. Bien que ces technologies restent encore onéreuses, il ne fait aucun doute qu’elles viennent à se démocratiser d’ici quelques années. Si vous êtes intéressé par des écrans LED hauts résolution, nous pouvons vous proposer des solutions au sein de notre gamme WinCine. Nous proposons en effet des écrans LED COB pour les résolutions les plus fines. Si vous avez des questions ou un projet, n’hésitez pas nous contacter 😉 !