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Les enjeux de la communication extérieur sur écran publicitaire

La publicité extérieure représente l’ensemble des solutions de communication réalisée dans le domaine public. On la retrouve principalement en milieu urbain, où le passage est important. Elle regroupe différentes techniques comme l’affichage statique standards(OOH), les écrans publicitaires et autres solutions numérique (DOOH) ainsi la pré-enseigne et les techniques de street-marketing. Contrairement aux idées reçues, ce sont des techniques toujours très efficaces. En effet, les français passent de plus en plus de temps en dehors de leur domicile. Ils sont sans cesse en déplacement que ce soit pour travailler, aller déjeuner, faire du shopping ou se divertir. Selon une étude INSEE en 2019 on passait en moyenne 7h45 par jours en dehors du domicile contre de 5h43 en 1999 (selon l’ enquête national transports et communication, et transports et déplacements). Cette valeur moyenne est d’autant plus grande pour les personnes vivant en ville. Ors la population tend de plus en plus tendance à s’urbaniser. En effet, nous étions moins de 70% à vivre en ville dans les années 60, contre plus de 80% depuis 2016. C’est pourquoi il est très intéressant de communiquer en dehors du domicile avec un public souvent plus réceptif. D’autant plus que les techniques de publicité extérieure permettent de toucher un grand nombre à un coût relativement faible. Les écrans publicitaire font partis des nouvelles solutions de communication outdoor. Ils répondent à une demande croissante des annonceurs et une volonté de modernité et qualité visuelle, ainsi qu’à nombreux enjeux de communication. > Découvrez également notre dossier complet sur le DOOH La publicité sur écran numérique en extérieur : une efficacité qui attirent Bien que la publicité extérieure est très présente en ville, elle est toujours fortement efficace. Les écrans attirent le regards 83% des individus considèrent les écrans plus attractifs (étude AMCA). De même, une étude de l’OAAA (outdoor advertiser association of America) a démontré que l’affichage urbain et l’affichage dynamique publicitaire avaient tendance à influencer la destination ou les décisions des passants. C’est d’autant plus vrais si en plus de l’identité de marque, le message apporte une information de qualité pour le passant. On pense notamment au niveau local avec une communication ancrée à un territoire qui permettent aux lecteurs de mieux s’identifier. Cependant, les écrans publicitaires n’attirent pas uniquement les acteurs locaux en quête d’identification. Ils sont également prisés des grands groupes du digital comme Netflix, Amazon ou Google qui souhaitent utiliser ce pouvoir d’influence sur le terrain pour communiquer sur leurs services. C’est le grand avantages des écrans des communication en extérieur. Ils permettent de multiplier les annonceurs, alors que ceux sont de sources multiples. Grands groupes ou artisans locaux ont tous un intérêt à gagner en visibilité. Ils permettent également de mixer les messages entre publicité informations locales pour mieux susciter l’intérêt du spectateur. Un secteur riche en opportunité Le secteur de la publicité extérieure est si attractif, qu’il est en perpétuelle évolution. On distingue principalement l’affichage standard (OOH) et l’affichage dynamique (DOOH) qui restent des moyens de communication complémentaires. Le dynamisme de l’un permet d’attirer l’attention alors que l’image statique de l’autre permet de mieux intégrer visuellement le message. Pour autant la version numérique permet de générer une rentabilité plus élevée. C’est pourquoi de nombreux panneaux publicitaires passent au numérique et son remplacer par des écrans géants LED. Cependant, l’affichage extérieur publicitaire quel qu’il soit, reste soumis à des contraintes réglementaires en termes de taille et de forme. Ces règle sont par ailleurs plus stricte dans le domaine du DOOH. Par contre, dans le cadre d’une utilisation à titre d’enseigne ou de pré-enseigne la réglementation sur l’affichage extérieur offre plus de souplesse en terme de taille et de formes. Les écrans de communication offre aussi plus de possibilité d’affichage et de format c’est donc plus d’opportunité de communiquer autrement. Enfin, ils participent aussi à la modernisation de l’espace urbain et permettent de réduire le nombre panneaux publictaires en concentrant les communication en un emplacement. C’est pourquoi, les écrans publicitaires semblent être la solution qui suit la meilleure dynamique ces dernières années. En effet, bien qu’impacté par la crise sanitaire, leur part sur le marché mondial devrait augmenter de 12.6% jusqu’en 2023. Une grande partie de cette croissance sera générée en Europe, pour 32.7%(selon une étude menée par Allied Market Research en 2016). En effet le vieux continent présente un certains retard dans son usage des écrans publicitaire comparativement aux Etats-Unis ou aux pays d’Aise de l’Est. D’autant plus que les solutions se modernisent et se démocratisent. Les écrans géants LED sont désormais plus accessible pour les commerçants et les collectivités. LEs écrans publicitaires, un secteur en pleine mutation S’il y a bien une chose que les publicitaires ont compris ces dernières années c’est que les français sont lassés de la publicité traditionnelle. Ils la jugent souvent trop intrusive et omniprésente (selon une étude du TNS Sofres en 2013). Ils doivent donc trouver des solutions pour reconquérir l’attention du public et donner une dimension plus humaine à cette communication. C’est pourquoi, on peut d’ors et déjà observer différentes stratégies. À l’image des campagnes qui privilégient l’expérience et la relation avec le consommateur. L’idée est d’inviter le spectateur à interagir avec l’écran que ce soit en direct ou indirect .De même, les annonceurs investissent l’espace urbain autrement et apportent une valeur ajoutée pour le consommateur. On peut penser aux zones de repos mise à disposition par les marques, ou des activités ludique et interactive. Ils mixent ainsi des éléments non-publicitaires avec une ou des solutions d’écrans d’affichage. Le but est de faire vivre une expérience au passants. Au delà de leur donner une bonne raison de s’intéresser au message publicitaire il y une volonté de créer un sentiment d’affection pour la marque. . D’autres stratégies misent sur les outils technologiques pour optimiser leurs campagnes. Ils intègrent des capteurs de passage sur le système d’affichage permettant de mesurer le nombre de passants (piéton, ou automobilistes). Il utilisent également l’ « eye-tracking » afin de déterminer le nombre de passant qui regardent. Ou encore les connectivités smartphones

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Quelle est la consommation électrique d’un écran géant LED

On entend beaucoup de discours parfois opposé concernant la consommation électrique des écrans LED. Les plus activistes écologiques les accusent de consommer autant d’énergie que 3 ménages en 1 an. À l’inverse, on ne cesse de nous vanter la faible consommation des LED. De ce fait, la question de la consommation électrique d’un écran reste inévitable. On va donc démêler le vrai du faux, afin d’expliquer succinctement ce que représente la consommation énergétique des écrans géants LED. Comprendre la consommation éLECTRique d’un écran Pour déterminer la consommation énergétique d’un écran, plusieurs éléments sont à prendre en compte. Tout d’abord la nature de cet écran. En effet, les solutions rétro-éclairées comme les moniteurs LCD sont plus énergivores que les solutions écrans LED. Ensuite, l’emplacement de l’écran va également jouer un rôle important. Si on l’installe en intérieur ou en extérieur, le besoin en luminosité pour être visible ne sera pas le même. De ce fait un écran extérieur ou en vitrine aura besoin d’une intensité lumineuse généralement plus élevée. Enfin, dans le cas d’un écran LED, le rapport taille/résolution et le PITCH seront déterminants sur le nombre de LEDs totales utilisé par l’écran. De manière logique plus il y aura de LED à alimenter plus la consommation électrique sera important. À cela, s’ajoute également l’alimentation des autres composants nécessaires au fonctionnement de l’écran. On peut penser par exemple aux vidéos processeur ou aux éléments du système de pilotage. Leur consommation va alors être dépendante de la qualité de ces éléments. En effet, la qualité globale de l’écran impacte directement son niveau de consommation énergétique. De manière générale un écran géant qui, à surface, luminosité et résolution égale, présente une consommation énergétique, plus faible est synonyme qu’un soin particulier a été apporté aux éléments qui le composent. Cependant, cette sélection de composants de qualité impliquera en général un prix de vente plus élevé. C’est pourquoi il faut envisager le coût d’un écran sur le long terme. En effet une consommation électrique élevée, ou des composants défaillants vont avoir un impact budgétaire sur la durée. De ce fait, le tarif d’un écran haut de gamme peut, au final, être compensé par des factures d’électricité réduites.La consommation énergétique d’un écran s’exprime généralement en kilo Watt par unité de temps, pour une surface donnée. Les constructeurs la renseignent dans la fiche technique avec une valeur moyenne et une valeur maximale. L’alimentation des écrans géants Dans la plupart des cas, les écrans géants sont directement branchés sur le circuit d’alimentation générale. Des transformateurs intégrés permettant ensuite de redistribuer l’électricité aux différents composants de l’écran (un module LED, par exemple, est alimenté en 5 V). Ils peuvent également fonctionner via un groupe électrogène dans le cadre d’écrans mobiles ou d’écrans camions comme le vidéo Truck.En moyenne, on considère que le besoin d’un écran LED est d’environ 1 kva/m². En réalité, ceci est très variable dépendamment des fluctuations d’intensité lumineuse de l’écran liée à son environnement. Celle-ci est cependant paramétrable grâce à un processeur qui va déterminer à l’avance la luminosité moyenne et/ou celle maximale que l’écran va adopter. Les écrans géants : plus écologique ou non ? Dans le contexte écologique actuel, de nombreux reproches, on a souvent reproché aux écrans publicitaires leur consommation électrique. Il est vrai que la consommation d’un écran géant reste importante. Elle est en moyenne de 3 850 W pour un écran de 8 m². Cependant, il faut bien prendre tous les éléments en compte afin de déterminer du réel impact écologique de l’écran. Par exemple pour les écrans publicitaires, les communes peuvent imposer d’éteindre les écrans sur certaines plages horaires. De même, cette empreinte carbone global doit s’évaluer comparativement à d’autres solutions de communication. Intervient alors la gestion des consommables pour les solutions plus traditionnelles. En effet, un écran géant publicitaire permet, par exemple à faire des économies de production de support papier, d’encre, de déplacement urbain entre autres. Comme l’a démontré l’étude Oxialive menée en 2010, qui comparait des écrans LED et des solutions d’affichage déroulant standard. Elle a observé qu’un écran produit 323,1 kilos d’émission Carbone par an contre 7640 kc pour la solution d’affichage traditionnel. Ce chiffre important provient principalement de la production des supports éphémères (4,6 kg C par publicité). Ce qui représente une émission de 0.09 kg de gaz à effet de serre par an pour le premier contre 0.87 kg pour le second. Des chiffres qui peuvent être nettement revu à la baisse suite aux progrès réalisés ces dernières années. En effet, les différents composants des écrans sont sans cesse améliorés afin de les rendre plus durables et moins énergivores. C’est pourquoi, sur l’année, un écran numérique présent au final un meilleur bilan carbone que les autres solutions d’affichages publicitaires utilisées en milieu urbain. Bilan sur la consommation ÉLECTRIQUE d’un écran Si une LED consomme peu d’énergie cela ne rime pas forcément avec écran à faible consommation énergétique. Il faut des milliers de LEDs pour réaliser un écran géant ce qui forcement multiplie le besoin en énergie. À cela, on ajoute également la consommation des autres composants de l’écran. Ce serait donc mentir que de dire qu’un écran consomme peu d’énergie. De ce fait cette consommation annuelle est toujours à prendre en compte lorsqu’on souhaite investir dans l’affichage dynamique. Pour autant ça reste une solution avantageuse vis-à-vis des solutions traditionnelles. Notamment en matière des coûts de production et d’impact environnemental. Sur le plan écologique, l’écran n’est certes pas neutre, mais présente une meilleure empreinte carbone que les autres solutions d’affichage urbain. Chez Winlght nous sommes experts en écran géant LED depuis plus de 20 ans. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à nous contacter nos conseillers se feront un plaisir de vous répondre.

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Comment choisir son écran en vitrine

critères de sélection d'un écran en vitrine

Il existe de nombreuses raisons d’avoir recours à un écran en vitrine. En effet, celui-ci permet d’améliorer sa visibilité et de communiquer plus efficacement. Le tout sans les contraintes d’un écran extérieur, notamment en terme de résistance, d’autorisations et de taxes. Depuis le XIXème siècle la vitrine joue un rôle primordial pour les commerces. C’est le premier contact avec le client. Elle permet à une boutique de présenter succinctement son offre de produits et/ou services. Elle joue donc un rôle majeur dans la visibilité et la promotion de l’offre d’un commerce. C’est pourquoi, aux files des années les vitrines ont évolué et se sont même théâtralisées pour booster cette mise en avant. Aujourd’hui, elles prennent aussi le virage du numérique. On peut donc voir de plus en plus d’écrans installés derrière les vitrines. En effet, l’écran permet d’afficher dynamiquement plusieurs informations en un emplacement et de s’actualiser rapidement. Il est ainsi possible de changer de message en temps réel. Si les écrans numériques présentent de nombreux avantages en vitrine, encore faut-il utiliser l’outil adapté. Ré-Édité le 27/05/2021 La luminosité de l’écran, un élément décisif en vitrine En vitrine, bien que l’écran soit installé à l’intérieur, il est soumis à de fortes contraintes de luminosité venant de l’extérieur. Ors son objectif est justement de communiquer vers l’extérieur. Il doit donc pouvoir être visible pas tous les temps. Il doit alors générer une luminosité plus importante que celle ambiante, c’est-à-dire la lumière du jour. Surtout si la vitrine est exposée en plein soleil. La luminosité de l’écran choisi est donc déterminante pour son efficacité en tant qu’outil de communication. On estime qu’en vitrine la luminosité d’un écran doit être autour de 3000 cd /m² selon son exposition. Un moniteur spécialisé pour les vitrines monte au maximum à 3 500 cd/m2 mais ce n’est pas le cas des produits grand public qui sont de l’ordre de 800 voir 1 000 cd/m². Concernant les écrans LED, ils sont reconnus pour leur haute luminosité qui selon la technologie peut aller jusqu’à 8 000 cd/m². cela permet d’être visible par tous les temps. Ainsi, l’exposition de la vitrine conditionnera le choix de l’écran. En effet un emplacement très exposé nécessitera soit un moniteur professionnel de haute qualité soit un écran LED. La taille et l’emplacement de la vitrine Un des avantages d’un écran installé en vitrine est qu’il peut attirer le regard d’une personne même à distance. Cela dépendra notamment de la taille de la solution utilisée.Selon l’emplacement, la cible de la vitrine sera différente. Si on communique auprès des passants qui passent devant la vitrine, on privilégiera alors une taille réduite et une haute qualité d’image. C’est pourquoi de manière générale, les moniteurs sont plus propices à une visibilité de proximité. À l’inverse, si l’emplacement permet d’être visible depuis la chaussée ou par les passants à plusieurs mètres, on préférera un écran de grande taille pour que le message soit suffisamment grand pour être vu correctement de loin. Cependant, cela dépendra aussi et surtout de la taille de la vitrine. En effet, elle doit pouvoir proposer une surface suffisante pour un écran surtout s’il est de grande taille. De plus il faut également prendre en compte le niveau d’obstruction généré par l’écran. Une vitrine est aussi une source de lumière naturelle pour une boutique. Ors un écran selon la surface qu’il occupe pourra occulter la lumière entrante. Pour autant, sur le marché de l’écran LED, il existe également des solutions d’écran transparent. Ceux-ci permettent de communiquer vers l’extérieur sans occulter la lumière du jour. L’objectif de l’écran en vitrine et le Budget Comme évoqué précédemment, le choix de l’écran dépendra principalement de ce que l’on veut en faire. En effet, si l’objectif est de partager des informations précises. De transmettre des messages avec un certain temps de lecture. Alors il est préférable de choisir une solution de visibilité de proximité comme un moniteur en vitrine. À l’inverse, si l’objectif est d’attirer les regards et de se faire remarquer. Alors l’écran LED est la meilleure solution. À la condition que vous disposiez d’un espace suffisant. Cependant il faut également prendre en compte votre budget. En effet selon la technologie et la taille le prix sera plus ou moins élevé. De manière générale, les moniteurs sont relativement moins chers que les écrans LED. En effet, ces derniers impliquent de grande surface un donc un tarif plus élevé. Cependant, même un moniteur de qualité professionnelle offrant une luminosité suffisante se chiffre en plusieurs milliers d’euros. Conclusion Le choix d’un écran en vitrine va donc dépendre de plusieurs critères. Ceux-ci sont à moduler afin de répondre votre besoin de visibilité et l’objectif de communication. Ces deux éléments impacteront directement l’efficacité d’un écran vitrine ainsi que sa rentabilité. Si l’écran est visible et qu’il répond au besoin de communication, alors ce sera forcément un atout pour la vitrine. Ces éléments seront ensuite à moduler en fonction du budget disponible. Si vous avez des doutes ou des questions concernant votre choix, notre équipe d’experts peut vous conseiller. Nous proposons des solutions d’affichage dynamique depuis plus de 25 ans aux professionnels et sommes spécialistes en écran géant LED. Vous pouvez par ailleurs découvrir notre offre d’écrans en vitrine sur la page dédiée.

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LE VÉRITABLE COÛT D’UN ÉCRAN GÉANT

illustration véritable cout écran géant LED

Les écrans de communication sont des outils dont les performances sont désormais prouvées. En effet, en 2017 le POPAI démontre une augmentation moyenne de 24% des ventes grâce à l’affichage dynamique. De plus, selon la même étude, 19% des personnes avouent avoir effectué un achat impulsif non prévu au départ après avoir vu une publicité sur un écran. Ainsi, un écran géant peut offrir une rentabilité intéressante, cependant, ces performances ont un coût. Si la technologie écran géant LED s’est démocratisée et est devenue plus abordables pour les professionnels, il ne faut pas oublier qu’investir dans un écran de communication va au-delà de l’outil lui-même. Pour autant, opter pour des solutions d’affichage écrans géants LED représentent un investissement. Il est donc important de bien évaluer tous les coûts et frais annexes d’un écran dans son plan de financement. Ceci permettra de garantir un retour sur investissement positif. Le prix d’achat d’un écran de communication Le prix d’achat d’un écran géant peut varier et comprendre plus ou moins d’éléments, selon s’il s’agit d’un écran importé ou d’un écran et selon les besoins techniques de l’installation. Au-delà de ça intervient également la notion de qualité du produit fini, mais aussi de ses composants. C’est pourquoi le prix d’achat d’un écran peut être très différent d’un fournisseur à un autre d’autant plus qu’il est multifactoriel. Le coût de l’écran géant en lui-même Le prix d’un écran regroupe donc toutes les étapes de sa conception. C’est-à-dire, le choix des composants, sa fabrication, la main-d’œuvre et enfin son transport. Ces éléments varient non seulement selon le soin apporté à la qualité de fabrication, mais également selon l’endroit où il est conçu. Ceci est valable quel que soit le type d’écran ; écran LED comme moniteurs LCD. Dans le cas d’un écran géant LED, par exemple, il est composé d’une structure sur laquelle on pose des modules eux-mêmes composés de LED, associés à des cartes de pilotages et un système d’alimentation. Ce sont donc, autant d’éléments qui s’additionnent, avec chacun son niveau de qualité et son propre coût associé. Le coût de l’ensemble du système de pilotage. Le système de pilotage est un autre élément qui entre en compte dans le coût final. Celui-ci variera selon la technologie utilisée, mais aussi selon le besoin de diffusion. Dans certains cas, par exemple, on a recours à un media player. Celui-ci permet d’adapter le flux entrant des contenus au format sortant sur l’écran. C’est ce système qui va permettre d’envoyer l’information aux cartes de pilotages. Son coût dépendra de la qualité du produit, sa vitesse de calcul, sa fiabilité et de sa longévité. En général, il sera directement intégré au prix final par le fournisseur. Autre élément qui intervient dans le pilotage pour pouvoir afficher du contenu animé, c’est le logiciel de pilotage lui-même. Celui-ci pourra être plus ou moins performant et offrir plus au moins de possibilités allant de la programmation des playlists à réalisation d’animations graphiques simples. Ce logiciel sera installé directement sur la machine ou accessible en ligne. En matière de tarif, celui-ci peut être gratuit et inclus dans le prix de l’écran ou additionnel avec un achat de licence ou un abonnement. Enfin, à cela on peut également ajouter un PC dédié au pilotage de l’écran géant afin d’éviter les interférences avec d’autres utilisations. Les autres frais inclus dans le prix d’achat de l’écran géant Le devis d’un écran géant intègre également d’autres frais, moins visibles. On peut notamment penser aux frais de livraison, d’installation et les options ajoutées (extension de garanties, pack premium etc.). De même, comme pour toute entreprise commerciale, le devis prend également en compte la marge appliquée par celle-ci. Ors plus il y aura d’intermédiaire entre le fabricant et le client final, plus il y aura de marges qui s’ajouteront. Les frais de gestion de la solution d’affichage dynamique Contrairement à ce que certains pensent, les frais liés à un écran géant ne se limitent pas à la commande passée et le plan de financement validé. En effet, son utilisation va également impliquer d’autres dépenses qui impacteront directement vos frais de gestions quotidiens. La consommation électrique Si un écran géant LED et un moniteur ont une consommation électrique au mètre-carré différente, ils ont besoin d’énergie pour fonctionner. Cette consommation va varier selon de nombreux éléments, comme le type d’’installation (intérieur ou extérieur), la durée de diffusion et la qualité des composants utilisés. En effet, un écran de meilleure qualité aura une consommation d’énergie réduite. De ce fait, le recours aux écrans de communication aura forcément des conséquences sur votre facture d’électricité. Il faudra donc anticiper cette consommation supplémentaire. La réalisation des contenus multimédias Avoir une solution d’affichage dynamique pertinente et de qualité, c’est bien, mais encore faut-il avoir du contenu à diffuser. En effet, 50 % des résultats de votre campagne d’affichage dynamique dépendront de ce que vous allez diffuser à l’écran. Cette production de supports visuels aura un coût. Celui-ci dépendra des moyens à disposition. En effet, si vous produisez vos visuels en interne avec le logiciel dédié ou disposé d’une base de données fournie par un réseau, alors il ne vous en coûtera que du temps de travail pour le programmer. Par contre si vous choisissez d’avoir recours à des prestataires externes pour réaliser vos supports, il faudra alors prendre en compte les frais de production facturés par le prestataire. Or, le tarif sera différent selon la nature de visuels. En effet, une simple animation ne représente pas le même investissement qu’une composition vidéo plus élaborée. Le coût de gestion de l’affichage sur écran géant Certes, les écrans de communication fonctionnent de manière autonome une fois programmée. Cependant, cette programmation nécessite une intervention physique par une ou plusieurs personnes concernées. Celle-ci est alors imputable en temps de travail. Il faut savoir qui gérera l’écran en fonction de ses capacités et de ses possibilités. Cela dépendra aussi de la manière dont sont produits les visuels, comme évoqué précédemment. Cette gestion demande en effet un minimum d’investissement pour collecter les contenus, les programmer sur le logiciel, les valider et en assurer le

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Les particularités d’un écran publicitaire

L’affichage dynamique publicitaire est un secteur en pleine croissance et profitable depuis plusieurs années. Bien que fortement impacté par la crise sanitaire et les confinements, l’attrait pour ces solutions repart à la hausse dans une optique de relance économique par les entreprises. En effet, un écran publicitaire présente une rentabilité intéressante tant pour le propriétaire de l’écran que pour les annonceurs. Se lancer sur le marché des panneaux LED publicitaires présente donc un certain intérêt. Se pose alors la question du comment. Au-delà de l’aspect technique et tarifaire se lancer dans la régie publicitaire présente quelques particularités. Il est important d’ailleurs de connaître les spécificités des écrans publicitaires pour réussir son projet. Mis à jour le 02/09/2021 Qu’est ce qui défini une panneau LED publicitaire Tout d’abord, il ne faut pas confondre affichage dynamique publicitaire et publicité numérique. Ce dernier désigne généralement la publicité en ligne. L’affichage dynamique publicitaire se réfère quant à lui aux panneaux LED publicitaire, mais également à l’affichage digital sur le millier urbain. Par définition : un panneau LED publicitaire, c’est un écran géant destiné à la diffusion de plusieurs annonceurs. Un écran publicitaire est donc un outil de communication. Il permet l’affichage de manière dynamique de messages sous différents formats issus de différents annonceurs. L’affichage de ces annonces repose sur un contrat de diffusion contre une rémunération. Cet outil complète les autres solutions de communication et d’information, tel l’affichage publicitaire standard, les prospectus, la publicité télévisuelle, etc. Pour résumer, on parle donc de panneau LED publicitaire quand un écran géant est utilisé pour afficher des messages commerciaux issus de plusieurs annonceurs avec une contrepartie financière. Quelles sont les règles pour la gestion d’un écran publicitaire Il existe ainsi différentes situations d’affichage publicitaire dynamique avec une réglementation plus ou moins stricte. Cela dépendra notamment du contexte d’installation de cet écran publicitaire. Sans être exhaustif, un certain nombre d’éléments importants sont donc à prendre en compte que ce soit en intérieur ou en extérieur. Si vous souhaitez aller, nous avons réalisé par ailleurs, un article entièrement dédié à la réglementation de la publicité extérieure. – En extérieur Toute solution de communication dynamique en extérieur est soumise à la réglementation nationale. Cela est valable tant pour les écrans LED que pour l’enseigne. Ces règles sont d’ailleurs plus strictes pour l’affichage dynamique à des fins de sécurité vis à vis des usagers de la voie publique. Toutes installations d’un panneau publicitaire doit au préalable avoir fait l’objet d’un accord avec la mairie. De plus, pour installer un panneau LED publicitaire, il est impératif se trouver dans une agglomération de plus de10 000 habitants. Enfin, l’écran géant LED ne doit pas excéder 8m² et ne peut être installé sur un mât à plus de 6m du sol. Il n’est donc pas possible de voir des écrans publicitaires au format 4/3. Par ailleurs, ces règles de base peuvent également être complétées par des réglementations locales. Celles-ci, peuvent aller jusqu’à l’interdiction des écrans publicitaires dans certaines zones ou partout dans la commune. – En intérieur Lorsqu’on parle de panneau LED publicitaire, on pense rarement aux installations intérieures. Pour autant, c’est un usage fréquent dans les lieux de passage important comme les gares, les aéroports ou encore dans les centres d’exposition. La publicité sur écran en intérieur est moins réglementée notamment, car les risques liés à la diffusion de contenu dynamique sont moindres. Elle peut ainsi prendre toutes les tailles et toutes les formes nécessaires afin de garantir une visibilité maximale et pérenne dans le temps. Cela est également valable pour les écrans en vitrine de magasin. Ainsi, tout propriétaire d’un écran numérique avec une visibilité suffisante peut décider de l’exploiter à des fins de publicité, en affichant non seulement sa communication, mais également celle d’autres professionnels. Quelles sont les conditions pour utiliser écran publicitaire ? Contrairement aux idées reçues, la publicité sur écran géant est accessible à tous ceux qui le souhaitent. Cela est valable tant pour devenir annonceur que pour devenir gérant d’un écran. En tant qu’annonceur, ceci se résume simplement à l’achat d’un espace de communication auprès d’un propriétaire d’écran ou une régie publicitaire. En tant que gestionnaire, cela repose d’abord sur l’acquisition d’un panneau LED publicitaire. Cependant, ceci n’est pas suffisant il faut également que l’emplacement de l’écran possède une visibilité suffisante pour attirer des annonceurs. Au-delà de ça, tout le monde peut choisir d’investir dans un écran publicitaire. Par ailleurs, il faut choisir un écran géant LED adapté à l’utilisation publicitaire, surtout en extérieur. De plus, comme évoqué précédemment, il faut s’assurer qu’il respecte les points de réglementations liés à la publicité. Ensuite, l’activité repose sur la commercialisation d’espaces de communication sur écran numérique par le biais de contrats de diffusion de plus ou moins longues durées. L’écran géant publicitaire devient donc une source d’entrée d’argent supplémentaire pour une entreprise ou un complément d’activité pour un professionnel. C’est un investissement qui peut vite se révéler d’une rentabilité intéressante. En général, on estime qu’à partir du troisième annonceur l’écran génère des bénéfices. La vente d’espace de communication permet de compenser l’investissement. Un panneau LEd publicitaire, un écran Géant LED particulier a haute rentabilité Un écran publicitaire techniquement, c’est un écran LED performant et résistant. Les différences résideront dans son utilisation et dans le pilotage. Tout d’abord ce qui définit l’écran publicitaire, c’est donc sa fonction d’affichage de différents annonceurs. Ensuite, ces écrans proposent un pilotage qui permet la programmation à distance plusieurs spots. Enfin, ils sont soumis à une réglementation particulière. Si vous avez des questions concernant ces points de règlement ou si pour un projet n’hésitez pas à nous contacter. Nous vous répondrons avec précision et vous aiderons dans vos démarches. Par ailleurs vous trouverez également d’autre information sur la régie publicitaire sur écran géant LED dans notre solution WINLIGHT MEDIAS. Pour aller plus loins: Réglementation sur la publicité extérieureSources : Visuels : Banner PSD créé par freepik – fr.freepik.com /

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Histoire de l’affichage dynamique : du système mécanique au numérique

Les écrans publicitaires et l’affichage dynamique font désormais parti de notre quotidien et plus encore dans les grandes villes. L’utilisation de ces outils s’est en effet accélérée ces dernières années. Surtout, elle s’est diversifiée. Ecran grant LED, moniteur LCD, tablette tactiles, totems ce sont autant d’outil qui aujourd’hui servent à la communication des professionnels. Pour autant l’affichage dynamique ne date pas d’hier. C’est en effet, le résultat de près d’un siècle de développement. Mis à jours le 12/05/2021 Développement de l’affichage dynamique mécanique L’origine de l’affichage dynamique remonte bien avant le numérique et les écrans. Les premières traces d’affichage dynamique remontent dans les années 20 à Time Square. À l’époque, on utilisait des plaques mobiles habillées d’ampoules pour annoncer les dernières nouvelles aux passants. Ceci près d’un demi-siècle avant que Time Square devienne le lieu de référence de l’affichage dynamique sur écran géant LED. En réalité le développement de l’affichage dynamique est étroitement lié à celui de l’enseigne. Dés lors que celle-ci devenait plus moderne, il est devenu nécessaire de trouver des solutions pour mieux se démarquer et attirer les clients. Apparition des panneaux textuels animés Quelques années plus tard la programmation mécanique a permis un nouveau bon en avant des solutions d’affichage. Dans les années quarante, ce sont les systèmes « girouettes à pastille » font leur apparition. Ce sont des panneaux animé à l’aide des petits disques pivotant aux faces bicolores qui permettent de recréer des lettre ou des chiffres. Ils deviennent alors courant dans les transports pour annoncer les horaires et la destination. Ces systèmes sont encore visibles et utilisés aujourd’hui notamment dans le domaine du sport sur les tableaux de scores et chronométrages. Cependant ils se font de plus en plus rare et tendent à être remplacé par du numérique. L’affichage dynamique a ensuite continué à évoluer en empruntant les avancés d’autre domaines , comme le cinéma, l’éclairage ou encore la signalisation. On intègre alors on des moteurs ou pour la première la variation de lumière pour animer les messages. On retrouve par exemple le système « split-flaps », évolution plus complexe des girouettes à pastille et utilisé dans les afficheurs de gares (image 1 ci-dessous). Puis les enseignes à ampoules clignotantes (évolution des enseignes lumineuses) qui attirent plus le regard et permet de mettre en lumière ou non tel ou tel message. Cette solution est encore très utilisée de nos jours comme pour les attractions de fêtes foraines ou les stands par exemple. Enfin cette période marque la naissance des fameux panneaux Trivision permettant l’alternance de messages statiques. Développement de nouveaux formats mécaniques Dans les année 60, une entreprise du nom de Walt Disney Engineering, donnent un nouvel élan à l’animation mécanique, grâce à la création d’audio-animatronics. Ils intègrent ainsi une dimension sonore aux animatronics. Grâce à ces outils l’affichage dynamique devient alors trois dimensions avec l’utilisation d’élément robotisés. Pourtant, dans les années 80 l’approche mécanique de l’affichage dynamique tend à disparaître pour de nouvelles solutions. Le sprint vers le grand format se développe et les prémices de la révolution numériques se font ressentir. Pourtant, dans les années 80 malgré ces les nombreux progrès observé l’approche mécanique de l’affichage dynamique tend à disparaître. En effet, de nouvelles solutions voient le jour empruntée encore au monde du cinéma et de la télévision. C’est l’apparition des écrans dans l’affichage dynamique. Ces nouveaux outils d’affichage vont avoir un très grand pouvoir d’attraction et se développer sur toutes les formes jusqu’à se retrouver dans notre poche. Boosté par la révolution numérique, le sprint des écrans et du grand format est lancé. Emergence des écrans, du cathodique aux solutions LED En parallèle de cette évolution mécanique de l’affichage dynamique, on assiste également à la naissance et au développement des écrans. En effet, le « cinématographe » des frères Lumières permettait la projection d’images animée dés 1895. C’est à cette même époque, qu’est inventé le premier écran cathodique permettant la diffusion d’image. Plus tard dans les années 20 ce système sera proposé grand public, accompagné de la diffusion de la première émission de télévision. Ce système va ensuite se développer et être utilisé pendant encore des années. On le retrouvera jusque dans les années 2000 en tant qu’écrans d’ordinateurs. En 1964, l’invention de l’écran plasma marque un tournant dans le développement de l’écran. En effet, cette technologie amène la notion de pixels, un gain de contraste, mais surtout une révolution en termes de dimension. L’écran peut ainsi être bien plus fin (quelques centimètres) et sur une plus grande surface, mais il est très onéreux. À la même époque, est inventé en parallèle l’écran à cristaux liquides ou LCD. Aujourd’hui la technologie la plus répandue autour de nous. Ce système, qui ne produit pas de lumière mais l’a réfléchi, va se développer étant plus abordable. C’est, par ailleurs, dans les années 80 que ce système accèdera à l’affichage couleur. Ces trois types d’écrans vont continuer à coexister plusieurs années. Chacun présentant ses avantages et inconvénients comme évoqué dans notre article sur les différents types d’écrans. Les année 90 vont voir aussi l’émergence des premières technologie LED. Les écrans LED vont quelques années plus tard envahir le marché. Ce qui entraînera la fin du recours au cathodique et celle du plasma à une utilisation de niche. Le LCD, en intégrant le LED et avec le développement des technologies OLED, AMOLED puis QLED restera quant à lui une des solutions les plus usitées. Le passage à l’affichage dynamique numérique Avec l’avènement de ces outils l’industrie de la signalétique passe également à l’ère du numérique. Cela des milieu 1900 où l’on commence d’abord retrouver des écrans de télévision posés dans des vitrines, diffusant des cassettes promotionnelles. En effet les écrans ne permettent plus seulement d’animer du texte mais de diffuer de la vidéo. Avec l’entrée dans les années 2000, le recours à l’affichage dynamique s’accélère d’autant plus. L’écran et présent dans le quotidien de tous les individus, tout comme la publicité. Les écrans géants LED s’imposent de plus en plus dans les grands espaces tels que les gares ou les places boursières. Les technologies se perfectionnent également, afin de

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Qu’est que le PITCH d’un écran géant LED

Article qu'est ce que le pitch d'un écran géant

Le Pitch d’un écran géant LED est un argument souvent avancé par les revendeurs d’écran comme garant de qualité. Or, le pitch est juste une caractéristique technique parmi tant d’autres qui vont définir un écran. Alors, qu’est-ce que le pitch d’un écran géant. Rien à voir avec le résumé synthétique d’un récit ou avec la petite brioche fourrée. Le Pitch reste une des caractéristiques majeures d’un écran géant LED. En effet, il va dépendre et influencer d’autres facteurs. Comprendre la notion de Pitch, c’est aussi expliquer celle de la qualité visuelle d’un écran LED. Cela permet également d’expliquer et de moduler le coût d’un écran géant en fonction de l’usage prévu. 1. Définition2. Le rapport entre le pitch, qualité d’image et distance de visibilité3. L’impact du pixel pitch sur le coût d’un écran LED4. Comment cela se traduit en pratiqueConclusion. Ce qu’il faut retenir du pitch d’un écran géant LED Mis à jour le 17/02/2021 Définition Dans un premier temps, il est important de ne pas confondre Pitch et Pixel. Le pixel représente chaque point lumineux d’une image à l’écran. Dans les cas les plus fréquents sur un écran LED chaque Pixel est représenté par une LED. Le pitch d’un écran géant correspond à la distance entre le centre de chaque pixel. Concrètement la distance qui sépare le centre entre deux LED verticalement et horizontalement. On l’appelle également, pixel pitch, pitch réel ou pitch physique. On l’exprime de manière générale en millimètres. Cette donnée est symbolisée par un P suivi d’un chiffre, par exemple P6 pour un pitch de 6mm. Ce pitch va ainsi définir la densité le LED au mettre carré. On le trouve facilement dans les détails techniques d’un écran numérique à LED, car cette donnée est primordiale. Le rapport entre le pitch, qualité d’image et distance de visibilité. Comme évoqué précédemment, le Pitch est en corrélation directe avec la densité de pixel. C’est pourquoi il impacte sur la qualité d’image. En effet plus les pixels seront espacés plus l’espace « vide » entre chacun d’entre eux sera grand et visible. L’image nous paraîtra alors « pixelisée ». Donc plus le pitch sera petit/fin, plus le rendu visuel sera net. Cependant, il est important de préciser qu’un pitch fin n’est pas adapté à toutes les situations. En effet, un certain pitch sera intéressant que s’il est déterminé en fonction de la distance de visibilité. En effet, la valeur du pitch va permettre de connaître la distance optimale de lecture et vice-versa. Le pitch permet ainsi de définir la distance minimale de lecture. Par contre, il n’impacte pas la distance maximale de lecture, qui elle est dépendante de la taille de l’écran. Ainsi, pour déterminer la distance minimale pour voir une image nette sur l’écran, on convertit ainsi la taille du pitch en mètres. De ce fait un écran de pitch 6, dit « P6 » avec une distance de 6 mm entre chaque LED sera vu nettement à partir de 6 m de distance. De même pour un écran de pitch 1,9 mm une distance de 2 m sera alors suffisante. C’est ainsi qu’on peut déterminer le pitch d’un écran selon la distance de visibilité. C’est pourquoi il n’est pas toujours nécessaire de mettre un pitch très fin quand la distance de lecture est importante. D’autant plus que la densité de LED va voir un impact direct sur le prix d’achat de l’écran. L’impact du pixel pitch sur le coût d’un écran LED Comme nous venons de le voir, le Pitch détermine la densité de led au mètre carré. En effet, plus il y a d’espace entre les LED, moins il en faudra pour couvrir une surface, et inversement. Or, la LED est l’élément central du fonctionnement d’un écran géant. Donc plus le nombre de led utilisé pour une surface donnée est important plus le coup sera élevé. Cela est d’autant plus vrai que les LED ne sont pas le seul composant impact épar la finesse du pitch. Autrement dit plus le pitch est fin, plus il y a de LED au mètre carré, et donc plus l’écran est cher, à surface égale. En effet le prix au mètre carré croit de manière exponentielle avec la diminution du pitch. Le pitch doit donc non seulement être pris en compte pour la qualité d’image, mais aussi en fonction du budget alloué. Un écran publicitaire de 6 m² en P4 aura certes une meilleure résolution, mais quel est l’intérêt s’il n’est jamais vu à moins de 10 mètres. Par contre le prix entre un écran géant LED P4 et P6 voir P10 sera drastiquement différent. Attention : le pitch n’est pas le seul facteur déterminant du prix d’un écran. Il faut prendre également en compte également sa taille, la qualité des autres composants et les structures notamment. Comment cela se traduit en pratique Certains vendeurs d’écrans vont donc rapidement mettre en avant la finesse de pitch comme garant de qualité d’image. Cependant, la question à se poser est est-ce vraiment ce dont vous avez besoin. Il faut mettre dans la balance plusieurs éléments pour choisir le pitch adapté : la distance de visionnage, la qualité d’image et le budget. Cependant, il n’est pas toujours évident de définir la distance minimale de visibilité, surtout face à un trafic mixte, piéton et automobiliste. Il faut dans ce cas bien définir sa cible principale. Si on veut principalement toucher les automobilistes, on privilégiera un écran géant LED avec un pitch plus large. A contrario si on cherche à toucher une cible de proximité la taille de l’écran sera moins importante, mais la résolution oui. Il existe, dans certains cas, une solution permettant de réduire visuellement le pitch.. Ceci fonctionne grâce à un traitement informatique dans le pilotage des LED dans le cas de pixel par groupement de LED (versus LED SMD). On parle alors de pitch virtuel. C’est une solution permettant d’améliorer la qualité d’image d’un écran quand la réduction du pitch réel n’est pas possible. Cependant, elle ne convient pas à toutes les situations. Ces nuances permettent également de faire la différence entre des experts de l’écran géant LED, prêts à vous conseiller la meilleure solution et des revendeurs d’écrans qui veulent placer leur produit.

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Comment mesurer le retour sur investissement d’un Écran Géant

illustration de l'article sur la Mesure du retour sur investissement d'un écran géant

L’affichage dynamique et les écrans géants led ont de nombreux avantages. Pour autant la question « quel retour sur investissement vais-je en tirer ? » se pose toujours. Un questionnement légitime. En effet, un écran géant LED représente un investissement important dont on veut forcement tirer des bénéfices pour le rentabiliser. De ce fait, qu’est-ce que la notion de retour sur investissement ou ROI (return on investment). C’est un indicateur chiffré qui permet de mesurer le rendement, la rentabilité, associé à un investissement. Il est mesuré en comparant deux données. Tout d’abord le coût de l’investissement et les bénéfices en lien avec l’objet de l’investissement sur une période donnée, tel que :Bénéfices en € – coût en € = ROISi le résultat est positif alors l’opération est commercialement rentable. Pourtant, dans la réalité des faits, les choses sont loin d’être aussi simples. En effet, l’impact d’une solution digital média ne se mesure pas uniquement sur le chiffre d’affaire généré. Il peut être valorisé de différentes manières et d’autres indicateurs peuvent être tout aussi intéressant à observer. Définir le « ROI » d’une solution d’affichage numérique. Comme évoqué précédemment, la mesure du retour sur investissement d’un écran géant repose sur la comparaison de deux valeurs : les coûts et les bénéfices. Donc si on veut anticiper la rentabilité de sa solution numérique, il est nécessaire de bien déterminer ces composantes. Déterminer le coût des écrans digitaux Anticiper les coûts associés à une solution digital media reste assez facile à déterminer. Dans un premier temps, on considère la valeur de base, celle liée à l’achat du ou des écrans. Celle qui est présentée sur le devis. Celle-ci se répercutera de différentes manière selon le type de financement associé à l’écran. Ce qui aura un impacte sur le calcul de la rentabilité. En effet, on peut ainsi soit prendre en compte l’investissement total soit le loyer mensuel associé dans le cadre d’une location financière. À cela s’ajoutent également les frais annexes liés à l’utilisation de la solution numérique. Il peuvent être d’origine multiples selon le type d’écran digital utilisé. On pense notamment à la consommation d’énergie, aux frais de gestion et de production de visuels ou encore aux frais de maintenance. C’est donc la somme de ces frais, sur une période donnée, qui vous permet de mesurer les coûts associés à un écran numérique. Bien les comprendre permet d’anticiper le plus précisément possibles l’investissement lié au digital media. Mesurer les revenus potentiels associés aux écrans d’affichage numérique Si quantifier les coûts était relativement simple, il peut s’avérer assez compliqué de définir les bénéfices associés à une solution d’affichage dynamique. Pour cela, il convient dans un premier temps de déterminer des objectifs clairs liés à cet outil. Ils peuvent être de plusieurs formes comme : une augmentation du panier moyen, des ventes, du nombre de souscriptions à un programme, un volume de clients ou de visiteurs plus important, etc. Peu importe la nature de cet objectif tant que celui-ci est clairement défini et mesurable. Une fois l’objectif définit, il faut déterminer les outils de mesure et contrôle de la réalisation de celui-ci. On peut également déterminer des facteurs intermédiaires qui participent à l’atteinte cet objectif, comme une visite, un devis, un premier contact, etc. Il faut alors pouvoir assigner une valeur à chacun de ces éléments, basés sur ses connaissances actuels du marché, et de la base de client qui permet alors de savoir quel est la valeur moyenne d’un nouveau client, etc. On parvient ainsi à quantifier et chiffrer (en €) des actions et des décisions pour pouvoir les comparer aux coûts. la question de anticipation du retour sur investissement d’un écran géant Ainsi pour mesurer le ROI sur une période donnée. Il suffit alors de déterminer au préalable les valeurs de départ, avant l’investissement, et de les comparer à celles actuelles après quelques temps d’utlisation. La difficulté réside dans le cas où l’on veut pouvoir anticiper ce retour sur investissement. Pour cela, on peut se baser sur de nombreuses études qui ont évalué l’impact des solutions d’affichage dynamique. Par exemple selon une étude IPSOS/KPMG de 2016 l’affichage digital lié à un commerce générerait en moyenne une augmentation de 30% des ventes. En 2017 une autre étude de Samsung en partenariat avec la LSA l’a évalué à 25%. En effet le secteur du DOOH (l’affichage dynamique publicitaire) est en pleine croissance, +20,5 % de CA en 2019 vs 2018 d’après l’IREP. Le « ROI », un indicateur de performance incomplet pour l’affichage numérique Le retour sur investissement est une donnée appréciée des gérants pour son coté factuel. En effet, il s’agit d’une donnée purement quantitative et rapidement comparable au chiffre d’affaires. Pour autant, une stratégie de communication digital média peut aussi avoir un impact indirect. Elle peut être à l’origine d’opportunité commerciale plus que de vente directe. Elle peut aussi avoir un intérêt plus qualitatif. Par exemple, en termes de d’améliorations d’expérience client, de gain de visibilité, d’image ou de notoriété. Ce sont autant d’éléments pouvant impacter positivement vos performances. C’est pourquoi, il peut être intéressant d’utiliser d’autres facteurs d’évaluation, prenant plus en compte ces données qualitatives. Le ROO : retour sur objectifs On l’a évoqué précédemment, il est primordial pour définir son ROI d’avoir un ou des objectifs clairs. Pour autant, ceux-ci ne sont pas forcément quantifiable, ou il n’est pas toujours évident de leur attribuer une valeur. Dans ce cas le ROO est très intéressant. En effet, il permet de contourner ce problème d’attribution de valeur. Il est aussi plus facile à définir en amont de la campagne ou de l’investissement. L’utilisation d’objectif qualitatif plus que quantitatif sont tout aussi intéressants. En effet ils auront un impact à long terme sur le ROI et plus pérenne. Cela se traduit notamment par la valorisation de l’image de marque, l’augmentation de la notoriété ou un engagement plus important des visiteurs. D’autant plus que les solutions d’affichage numérique et de publicité digitale extérieure, possèdent un fort taux de mémorisation. Plus de 50% de manière générale avec 72% d’avis favorable (d’après Nielsen Digital Billboard Study, 2015 ). Dans notre cas, le but du ROO est donc de

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MUR VIDÉO : ÉCRAN LED OU LCD

Ces dernières années, le développement des technologies LED s’est grandement accéléré et les écrans sont de plus en plus performants. Ils offrent ainsi une qualité visuelle bien meilleure et peuvent prendre toutes les tailles et toutes les formes. Ils permettent désormais de transformer presque toutes les surfaces murales en écran. C’est d’ailleurs devenu une solution intéressante pour remplacer les murs vidéo composés d’écrans moniteurs LCD. Cependant le LCD n’a pas dit son dernier mot. Notamment car ces deux types d’écrans présentent des différences de structure importante. Si le recours aux solutions écrans géants LED a augmenté, l’usage des écrans LCD reste encore prédominant notamment chez les commerçants, mais cela va-t-il continuer. Les écrans géants LED à la conquête de la communication indoor LED vs LCD : un rapport de taille La grande force des écrans géants LED, en plus de leur haute luminosité est le fait qu’ils ne connaissent aucune limite de taille. C’est pourquoi, ce sont la solution idéale en extérieur. En intérieur l’écran LED n’a pour autant pas dit son dernier mots, grâce à des structures plus fines et plus légère. Alors que les écrans LCD bien que de plus en plus grands, restent limité par leur taille et leur cadre. De ce fait pour réaliser des murs digitaux LCD, il faut alors combiner plusieurs écrans avec leurs bordures. Contrairement aux écrans géants LED qui peuvent être réalisés d’un seul tenant, sans effet de bordure, même sur des grandes surfaces jusqu’à plusieurs centaines de mètres carrés. De plus ils peuvent être réalisé de n’importe qu’elle forme. Alors qu’un mur LCD doit se limiter à la multiplication de moniteurs de tailles standardisées, au format rectangulaire. Bien que cela permet malgré tous des formes originales ce n’est pas comparable aux libertés offertes par l’écran LED. Ils sont composés de plusieurs module de led associés entre eux pour des réalisations plus créatives. Ce qui leur permet également de s’intégrer parfaitement à des infrastructures. Une finesse de résolution déterminante En intérieur le talon d’Achille des écrans LED vis à vis du LCD c’est la définition. En effet en indoor, on est en général exposé aux écrans à des distances plus réduite qu’en extérieur. Ce qui demande une résolution plus fine pour conserver une bonne qualité visuelle. Ors les écrans LED ont un fonctionnement en pixel pitch. C’est à dire que chaque pixel est représenté par une LED qui sont ensuite espacées entres elles. De ce fait en regardant un écran LED de trop près on peut percevoir ces espaces. Contrairement au écrans LCD munis d’une dalle de réflexion unie. Cependant, ces dernières années, les technologies ont continué de progresser et la taille des LEDS de se miniaturiser jusqu’à la microled. En effet les constructeurs d’écrans ont eu pour objectif de réduire ces espaces entre chaque LED. On obtient ainsi des pitchs pouvant être inférieur à 1 mm ce qui permet une visibilité nette de l’écran même à moins d’un mètre de distance. L’évolution de ces techniques apportent également un autre avantage technique par rapport au LCD : la rapidité de réponse des LED et de leur variation de couleur. Ainsi contrairement aux moniteurs, ils n’ont pas d’effet de rémanence des cristaux liquides. Ce qui leur permet d’afficher des contenus en mouvement rapide avec une grande fluidité. Tout en offrant également une meilleure uniformité des couleurs sur toute la surface de l’écran. Les écrans LCD résistent et restent un marché en croissance. Un avantage budgétaire majeur, notamment sur les petits formats Bien que celle-ci ai ralentie ces dernières années, la croissance du marché des écrans LCD à usage professionnel se poursuit malgré tout. +17% en 2016 selon future source. En effet, l’avantage majeur des écrans LCD est de pouvoir offrir une résolution fine (en 4K voire 8K) à des coûts qui ne cessent de baisser. Ce qui fait d’eux des produits bien plus abordables pour des murs inférieurs à 8-10m². En effet ces formats sont en général destinés à être vu de près. Ce qui implique une meilleure résolution et donc un pitch plus fin pour un écran LED. Ceci se traduit par un nombre de LED plus important au mètre carré et donc un prix qui peut vite gonfler. Pour autant, pour des formats de mur vidéo plus grand, destinés à être vu de plus loin, la différence de budget aurait tendance à s’inverser. En effet, pour une surface importante, il faut multiplier le nombre de moniteur à prix fixes. Ors pour un écrans LED on adapte le nombre de dalles à la surface avec en général prix régressif au volume d’autant plus que le besoin en résolution est moindre. Enfin il ne faut pas oublier de prendre en compte la notion de consommation électrique sur une telle surface. La LED est par ailleurs connue pour sa faible consommation d’énergie surtout vis à vis du LCD. Ors moins de LED au mètre carré c’est moins de LED à alimenter. La technologie LCD continue elle aussi d’évoluer Les écrans LCD n’ont pas dit leurs deniers mots et eux aussi ont vu leur technologie évoluer ces dernières années. Comme avec les solutions QLED et OLED, par exemple, qui offrent une meilleure qualité visuelle et plus de luminosité. Ceci permet notamment de pouvoir les utiliser dans des milieux intérieurs avec un éclairage important. De plus les limites de leur cadre sont sans cesses repoussées pour pouvoir proposer des moniteurs toujours plus grands. Les écrans LCD présentent un autre avantage par rapport au LED. Ils peuvent gérer plus facilement la notion d’interactivité. En effet possédant déjà une dalle, qui peut être dotée de capteurs tactiles. Surtout que c’est une solution éprouvée et efficace. Les écrans LED sont eux aussi capables d’être tactile, mais avec des techniques différents, et l’ajout d’une plaque. Enfin, les moniteurs permettent des réalisations de mur LED plus rapidement. En effet, ce sont des produits avec des tailles standardisées, souvent déjà fabriqués et donc déjà en stock. Ainsi les fournisseurs peuvent être plus réactif face au projet. Les moniteurs ont justes à être posés et assemblés. Contrairement aux écrans LED qui

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