Technologie-LED

L‘écran géant LED est un outil de communication et de diffusion de contenu de plus en plus prisé par les entreprises, les événements et les commerces. En effet, il offre un haut niveau de visibilité et attractivité. C’est un outil très flexible, tant par la taille que par la forme. Cependant, installer et entretenir un écran géant LED peut être une tâche complexe. Dans cet article, nous allons vous donner des conseils pratiques pour réussir l’installation de votre écran géant LED afin d’en tirer le meilleur parti. Définir l’emplacement de son écran géant LED L’emplacement de l’écran est un élément crucial à son impact. Pour choisir l’emplacement idéal, il est important de prendre en compte plusieurs éléments clés. Tout d’abord, la visibilité qu’offre l’emplacement est un critère essentiel pour garantir la réussite de l’installation. L’écran est fait pour être vu. On privilégiera donc les emplacements à fort passage ou qui rassemblent un volume important de personnes. Il est également important de prendre en compte le contexte d’installation et l’objectif de l’écran géant LED. Si l’écran est à but publicitaire, il doit être installé dans un endroit où il sera vu par le plus grand nombre de personnes possible. Si l’écran se destine l’animation un espace ou pour de la diffusion, il devra alors favoriser une expérience immersive pour les spectateurs. D’autres critères pourront entrer en jeu comme l’angle de vue ou la hauteur de l’écran. PRéciser son projet et le mode d’installation Dans un projet d’installation d’un écran géant LED, il est essentiel de préciser certaines caractéristiques techniques. La distance de visibilité de l’écran est un point clé à considérer. Il sera d’ailleurs déterminant dans le choix la résolution nécessaire. En effet, plus la distance de visionnage est faible, plus la résolution de l’écran devra être élevée pour garantir une qualité d’image optimale. Il sera également intéressant de préciser la taille et la forme de l’écran. Les écrans géants LED offrent de nombreuses possibilités en termes de dimensions et de formes. Cela permet des installations en adéquation avec l’espace disponible et l’objectif visé. Enfin, il faut définir le mode d’installation en fonctions des contraintes du projet. Un écran géant LED peut s’installer de différentes manières, sur un support comme un mat, fixé au mur ou encore suspendu. Chaque option aura ses avantages et inconvénients en fonction de votre emplacement. Choisir le mode de pilotage adapté Pour piloter un écran géant LED, plusieurs options s’offrent à vous, mais le choix dépendra avant tout de l’emplacement de votre écran. Si celui-ci est éloigné du lieu où vous souhaitez piloter l’écran, l’option la plus courante est de privilégier un pilotage à distance via internet en intégrant une puce GSM à l’écran. Cette solution permet de contrôler l’écran depuis n’importe où, à condition de disposer d’une connexion au réseau stable. En revanche, si l’écran est à proximité de votre lieu de pilotage, vous pourrez opter pour une liaison filaire, la solution la plus fiable, ou une connexion Wi-Fi. Dans ce cas, vous pourrez piloter directement l’écran sans avoir besoin d’utiliser internet. Le choix du mode de pilotage dépendra donc du besoin et de la distance de l’écran. Assurer la longévité de son écran géant LED L’entretien de son écran passe avant tout par le fait de garantir sa longévité et sa durabilité. Pour cela, il convient de prendre en compte différents éléments, notamment la qualité du matériel choisi. Il est préférable de privilégier des écrans de qualité supérieure pour garantir une durabilité optimale. De plus, il est important de s’assurer que l’IP de l’écran correspond à son environnement, en particulier pour les installations en extérieur, afin de résister aux intempéries. L’intensité lumineuse est un autre facteur d’usure important à prendre en considération. En effet, celle-ci es trop intense, trop longtemps, elle peut endommager les LED. Il est donc intéressant d’opter pour des écrans qui peuvent gérer de manière autonome l’intensité des LED en fonction des besoins, afin d’éviter une surconsommation inutile. Maintenance et suivi d’entretien Un écran géant LED, a une durée de vie moyenne de 7 à 12 ans. Cependant, pour garantir une longévité optimale et éviter des dysfonctionnements éventuels, il est important de prévoir une maintenance régulière de l’écran. Cette maintenance peut inclure le remplacement de modules défectueux, de cartes de pilotage ou des câbles d’alimentation et de connexion. Enfin, il est important de noter que la plupart des écrans géants LED ont une garantie de 3 ans. Celle-ci peut être prolongée jusqu’à 5 ans en fonction de la qualité du produit installé. Faire appel à un porfessionnel de l’écran géant LED Installer un écran géant LED est un investissement important. C’est pourquoi, il est crucial de s’entourer de professionnels pour garantir la réussite de son projet. Différents acteurs sur le marché peuvent vous proposer des solutions d’installation d’écran LED : les conseillers en affichage dynamique, les concepteurs d’écrans LED, les revendeurs d’écrans ou encore les fournisseurs de logiciel d’affichage dynamique. Ils auront chacun leur niveau d’expertise et vous conseillerons sur plus ou moins d’aspect. Faire appel à un professionnel de l’écran géant LED, vous assure une prise en compte de chaque caractéristique technique de votre projet. C’est aussi bénéficier d’un accompagnement sur-mesure et de conseils avisés pour optimiser l’efficacité de son installation. Enfin, cela permet d’avoir un interlocuteur unique pour la maintenance et la réparation de son écran. Chez Winlight en tant que concepteur de solution d’écran géant LED nous pouvons vous conseiller dans votre projet. Notre équipe se fera un plaisir de vous conseiller. N’hésitez pas à nous contacter.

Lors de l’achat ou la recherche d’un nouvel écran dans ses caractéristiques, on retrouve généralement des informations sur sa luminosité. Celles-ci s’expriment principalement en nits ou en candela par mètre carré (candela/m²). Bien quelle mesure toutes deux la luminance d’un écran, il existe quelques différences entre ces deux unités. Ors bien comprendre la luminosité de son écran est necessaire. En effet, cela impactera la qualité de l’image et le rendu selon l’utilisation prévue. On vous en dit plus sur les Nits et Candela/m². Les différentes unités de mesure de la lumière Premièrement, il est important de comprendre les différentes unités de mesure de la lumière. Elles permettent d’évaluer la qualité et les performances lumineuses. Tout d’abord les lumen (lm) qui mesurent la quantité totale de lumière émise par une source lumineuse, comme une ampoule ou une LED. Les lux (lx), eux, quantifient la quantité de lumière qui frappe une surface donnée. Ils dépendent de la distance entre la source de lumière et cette surface. Ensuite, nous avons les Candela (cd), qui mesurent l’intensité lumineuse dans une direction donnée, à partir d’une source lumineuse ponctuelle. Elle peut ensuite être mesurée en fonction d’une surface, on parle alors de candela/m² (cd/m²). Enfin, nous avons les Nits, qui est l’unité standard pour mesurer la luminosité d’un écran. Ils sont étroitement liés au candela. Cependant, ils sont spécifiques à la quantité de lumière fournie sur une surface. Les Nits sont donc équivalents aux Candela par mètre carré (cd/m²) à quelques nuances près. Comprendre la petite différence entre candela/m² et nits Bien que très similaire, il y a cependant des différences entre les candela/m² (cd/m2) et les nits. En effet, pour entrer dans les détails, ces deux unités mesurent réellement deux valeurs distinctes. L’intensité lumineuse appliquée sur une surface s’exprime en candelas par mètre carré. Les nits, eux évaluent la luminance pour une zone donnée. En résumé, les nits mesurent la luminosité dans toutes les directions, tandis que les cd/m2 calculent la luminosité dans une direction spécifique. C’est pourquoi on utilise plus souvent les cd/m² pour les sources lumineuses et les nits pour les écrans. En matière de conversion, c’est très simple : un nits est égale à 1 candéla/m². Donc un écran de 1000 cd/m² est un écran de 1000 nits. La différence réside dans la mesure de cette intensité. En effet, il est plus facile de mesurer une luminosité en provenance d’une direction que dans une zone. Les candéla/m² permettent donc généralement les déterminer les nits d’un écran. Les impacts de la luminosité d’un écran sur votre confort et la qualité d’affichage La luminosité d’un écran s’exprime donc principalement en nits. Elle est généralement mentionnée dans les spécifications techniques. En effet, le niveau maximum de luminosité d’un écran va avoir un impact sur plusieurs facteurs. Tout d’abord, elle influence directement la qualité de l’image. Une luminosité plus élevée permet dit niveau de contraste plus important et donc une meilleure compatibilité HDR. Cela permettra d’afficher plus de nuance et de détails. De plus, la luminosité affecte directement la visibilité de l’écran, surtout pour une utilisation dans un environnement lumineux. C’est pourquoi on recommande généralement les écrans LED pour une installation en extérieur ou dans des endroits très exposés. Ils ont la puissance nécessaire pour fournir une luminosité suffisamment élevée pour éviter l’effet reflets. La luminosité de l’écran a également un impact sur la fatigue oculaire. Si l’écran est trop lumineux, il peut éblouir l’utilisateur. À l’inverse, un écran trop sombre peut fatiguer les yeux en obligeant l’utilisateur à fournir un effort supplémentaire pour lire le contenu. Enfin, la luminosité de l’écran peut également affecter la consommation d’énergie, même si ce n’est pas le seul facteur déterminant. Une plus haute intensité demande plus d’énergie, mais cela dépendra aussi de la technologie. Le plus important est la capacité de l’écran à faire varier cette luminosité en fonction de son environnement afin de proposer la luminosité adaptée à une lecture optimale sans surconsommer. La luminosité d’un écran est un facteur important à prendre en compte pour obtenir une qualité d’image optimale et garantir une visibilité adéquate. C’est pourquoi il est important de comprendre les valeurs d’intensité lumineuse indiquée, que celle-ci soit en nits ou en candela. Pour connaître le niveau d’intensité nécessaire selon l’environnement nous vous invitons à lire notre article dédié. Chez Winlight, nous sommes experts de l’écran LED. Nous proposons différentes solutions selon l’environnement et nos experts peuvent vous conseiller sur le niveau de luminosité adapté. Celui-ci est par ailleurs modulable dans nos écrans pour fournir une valeur optimale à la lecture sans sur-consommer. Si vous souhaitez plus d’informations n’hésitez pas à nous contacter.

Le naked eye 3D, ou 3D sans lunettes, est une technologie d’affichage en trois dimensions qui suscite un grand intérêt ces dernières années. Certains de ces écrans LED ont même faite le « buzz » sur les réseaux sociaux. Contrairement aux techniques traditionnelles qui nécessitent des lunettes spéciales pour visualiser les images en 3D. Cette technologie permet une expérience immersive sans aucun accessoire. Cette innovation est particulièrement prometteuse pour l’industrie du divertissement ou l’affichage de données complexes en ingénierie. On vous en dit plus sur comment fonctionne cette technologie ainsi que les facteurs clés à considérer lors de la conception d’un projet d’écran naked eye 3D. Comment fonctionne le naked eye 3D ? Le naked eye 3D est une technologie d’affichage qui permet de créer une illusion de profondeur sans avoir besoin de lunettes 3D. Pour cela, elle s’appuie sur le fonctionnement de la vision humaine et du traitement de ses informations par le cerveau. En effet, c’est grâce à la forme de nos yeux et à leur dualité que nous pouvons percevoir le monde en 3 dimensions. L’effet 3D de ces écrans repose comme souvent sur une illusion d’optique. Il joue sur la recomposition de l’image par notre cerveau à partir des informations perçues par chacun de nos yeux. Pour cela, cette technologie utilise un écran LED spécialement conçu et un contenu vidéo adapté pour donner l’impression que les objets sur l’écran sortent de celui-ci. Un écran LED performant et conçu pour ce type d’affichage L’un des éléments clé de la technologie naked eye 3D est l’écran LED. En effet, c’est la solution la plus adaptée à ce type d’utilisation. Sa particularité principale est sa conception en angle de 90°. Celui-ci peut être convexe ou concave. La surface d’affichage de l’écran et ainsi elle en 3 dimensions ce qui permettra d’accroître la sensation de profondeur. Cela implique que l’écran doit être vu d’un certain angle pour profiter pleinement de l’effet 3D. Sous d’autres angles, l’image pourra paraître déformée ou incomplète. L’écran doit également être suffisamment performant. Il doit pouvoir proposer une qualité d’image adaptée au contenu qui sera diffusée. En effet le contenu étant primordial dans l’effet naked eye 3D l’écran doit être en mesure d’afficher le niveau de contraste et de fluidité nécessaire. Un contenu vidéo adapté au Naked Eye 3D Pour obtenir une expérience de visualisation 3D immersive, il est crucial que le contenu vidéo soit conçu pour l’écran Naked Eye 3D. Pour cela, il doit tenir compte de la profondeur et de la dimension de l’image. Il doit aussi prendre en compte la position du spectateur. L’un des points clés de la composition de ce contenu est l’utilisation d’éléments de référence plus fixe. Le déplacement et le positionnement du sujet par rapport à cet élément viendront donner cette illusion de 3 dimensions. Il faut également jouer sur les différents paramètres de perspectives, d’ombre et de contraste pour augmenter la sensation de volume. Enfin contenu, les plus aboutit intègre aussi un effet de parallaxe. Cela repose sur une prise en compte plus poussée du champ de vision. Pour cela, deux images différentes diffusées en simultanée viennent composer le contenu affiché afin que nos yeux les alignent sur en une seule image. Différents systèmes seront alors utilisés. Les éléments clés à prendre en compte pour votre projet d’écran naked eye 3D Lorsque vous envisagez de réaliser votre propre projet d’écran 3D, il est important de prendre en compte plusieurs éléments clés pour obtenir des résultats optimaux. Voici les éléments à considérer : Angle de vision : Le naked eye 3D nécessite un angle de vision précis pour que l’image apparaisse en 3D sans lunettes. Il faut donc s’assurer que l’emplacement où se situeront les spectateurs est compatible avec l’angle de l’écran. Choix de l’écran LED : Le choix de l’écran LED comme évoqué précédemment est important. Il doit être suffisamment grand, suffisamment lumineux, offrir un haut niveau de contraste (HDR idéalement) et un taux de rafraîchissement élevé pour afficher le mouvement avec une grande fluidité. La distance de visionnage : Le spectateur doit se situer suffisamment loin de l’écran afin de garantir qu’il est l’intégralité de celui-ci dans son champ de vision. La distance minimale recommandée est d’environ 1,5 fois la diagonale de l’écran pour permettre une immersion totale dans l’image. Un contenu vidéo adapté : La vidéo doit être conçue par un animateur 3D expert et pensée pour son affichage en naked eye 3D. Elle doit s’appuyer sur les éléments évoqués précédemment pour accroître l’effet de profondeur et de volume. Prendre en compte le contexte de l’écran : Pour accroître encore plus l’illusion d’optique que le sujet sort de l’écran, il est intéressant d’utiliser un cadre autour de son contenu qui copie la structure sur laquelle est installée l’écran. Le sujet vient alors en superposition de ce cadre dans ses mouvements. La limite entre écran et bâtiment étant plus floue l’œil est plus facilement trompé. En conclusion, le naked eye 3D représente une nouvelle avancée dans le domaine de l’affichage en trois dimensions. Cette technologie offre une expérience immersive sans lunettes 3D. Cependant, pour obtenir des résultats optimaux, il est crucial d’en comprendre son fonctionnement. Tant l’écran que le contenu affiché seront déterminants. Plusieurs éléments seront également à prendre compte, tels que l’angle de vision, la distance de visionnage et le contexte. Avec tous ces éléments en tête, il est possible de créer des écrans naked eye 3D de haute qualité qui offrent une expérience de visualisation en trois dimensions immersive et captivante. Chez Winlight nous sommes expert en écran géant LED. Nous réalisons des installations pour de nombreux clients. SI vous un projet d’écran Naked Eye 3D nous saurons vous conseiller sur la solution adaptée. Ce type de projet se prêtent bien aux installations qui veulent générer un effet waouh, comme nous l’avons fait sur notre stand lors de Franchise Expo Paris. N’hésitez pas à nous contacter.

Le recours à la LED est de plus en plus populaire. Elle le doit à ses nombreux avantages : rentabilité, efficacité et qualité de la lumière produite. Cependant, bien que de nombreuses personnes pensent que cette technologie est une invention récente, l’histoire de la LED, en réalité, remonte aux années 1900. Elle a ensuite évolué pour couvrir toutes les utilisations que nous lui connaissons aujourd’hui. Nous alors retracer l’histoire de la LED et ses multiples utilisations afin de mieux comprendre le role qu’elle joue dans nos vies aujourd’hui. L’histoire de la LED : des débuts modestes à une technologie révolutionnaire Invention et développement de la LED Au début des années 1900, Zoltan Bay et son associé Gyorgy Szigeti ont créé le premier prototype de LED, c’est à dire à fonctionnement électroluminescente. Elle était alors fabriquée en silicone. Près de 10 ans plus tard, en 1951, William Shockley fut le deuxième à déposer un brevet pour l’éclairage électroluminescent. Dans les années 50 plusieurs entreprises ont entrepris de travailler sur cette technologie. C’est en 1962 que Nick Holonyak conçoit la première LED rouge. C’est cette date qui généralement retenue comme année de création de la LED telle que nous la connaissons. En 1971, Jacques Pankove découvrent les LED bleues. Presque un an plus tard, en 1972, M. Georges Crawford a inventé la première LED jaune, considérée comme l’une des découvertes les plus cruciales pour les LED. Évolution et perfectionnement de cette technologie Bien plus tard en 2014 Shuji Nakamura est récompensée du prix Nobel de physique pour l’invention des LED bleue à haute intensité conçue pour Nichia en1993. Cela permettra ensuite d’être converti en LED blanche. Cette technologie va continuer à évoluer et se perfectionner pour être plus efficace et moins énergivore. Elles sont alors miniaturisées puis regroupées entre elles pour former les LED SMD dans les années 1990. Ce sont celles les plus utilisées actuellement pour les écrans. Le type de LED qui fait beaucoup parler d’elle ces dernières années est la LED COB car plus performante. Pourtant elle a été développée dans les années 2000 Le premier brevet déposé à son sujet date des années 2006. On les utilise principalement aujourd’hui dans les solutions d’éclairage pour leur haute intensité, mais intègrent depuis peu le monde des écrans LED. L’évolution de l’utilisation des LED, Comment elles ont envahi notre quotidien De nos jours nous vivons quotidiennement entourées de LED, parfois même sans s’en rendre compte. Au fur et à mesure de leur évolution leur présence et leur utilisation s’est elle aussi développée. Les outils utilisant des LED ont commencé à envahir le marché grand public dans les années 70. Les LED ont d’abord été utilisée à titre de voyant lumineux comme on en voit sur nombreux de nos appareils électroniques. Avec le développement de la LED s’est également le développement de la LED infrarouge qui s’est développée. Ainsi les LED ont été utilisée pour transmettre des signales comme sur nos télécommandes. On les utilisait également pour des panneaux d’affichage lumineux. Les ancêtres des écran LED, comme on en voit encore aujourd’hui. Les LED ont commencé ensuite à gagner en puissance et peuvent donc être utilisée en solution d’éclairage. Cet effet s’est encore plus accru avec le développement des solutions SMD puis COB. Ainsi dès 2002 on reconnait les LED comme solution d’éclairage plus performantes et plus économes que les ampoules classiques. On les retrouve donc dans de nombreuses ampoules, dans l’éclairage public, la signalisation, en remplacement des néons colorés mais y compris dans l’industrie. Enfin on les retrouve de plus en plus dans les écrans LCD comme source lumineuse en remplacement des lampes fluorescente. Le cas des écrans LED Les LED sont également de plus en plus présentes dans nos écrans. À l’origine, leur utilisation se limitait à l’affichage grand format. En effet, les écrans géants LED étaient composés de LED dites DIP (ou classiques), dont on combinait des versions rouge, verte et bleue, et dont on faisait varier l’intensité de chacune d’entre elles pour reproduire les autres couleurs. Cela nécessitait donc une certaine distance pour pouvoir voir l’image. Aujourd’hui, ce type de fonctionnement est de moins en moins présent en grand format. Cependant, il fait son retour sur les écrans haute résolution grâce à des versions miniaturisées des LED. Le domaine des écrans à LED s’est accéléré avec le développement des LED capables de produire plusieurs couleurs et des LED SMD dans les années 2000. Cependant, cela se limitait à des résolutions grossières et donc à des écrans grand format. Au fur et à mesure des années et de la miniaturisation des LED, la définition des écrans s’est affinée. Ils peuvent aujourd’hui rivaliser avec les écrans LCD. Cela est d’autant plus vrai avec l’adaptation de la technologie COB aux écrans LED au début des années 2020. Cela permet d’avoir des écrans ultra haute définition et une qualité d’image exceptionnelle. La LED : de l’obscurité à la lumière, une histoire de progrès technologique La LED a parcouru un long chemin à grande vitesse depuis sa découverte dans les années 1900. Elle s’est depuis répandues dans de nombreux domaines d’application. On les retrouve dans l’éclairage domestique à l’affichage public en passant par les écrans haute définition. Aujourd’hui, les LED sont devenues incontournables dans notre vie quotidienne et ont permis des avancées technologiques majeures. Avec une efficacité lumineuse élevée, une longue durée de vie et une faible consommation d’énergie, les LED ont un avenir prometteur dans de nombreux domaines. Elles sont d’ailleurs le cœur de notre métier d’expert en écran géant LED. Quand on regarde en arrière nous sommes fréquemment surpris par le chemin parcouru de notre secteur activité. De nouvelles innovation continue de voir le jour comme avec l’intégration du COB ou l’affichage holographique. Ainsi l’écran LED s’ouvre à de nouveaux marchés et nous sommes persuadé que cette technologie continuera de nous surprendre. Si vous avez des projets d’écran LED ou des questions sur ces technologies, notre équipe est à votre disposition et se fera un plaisir de vous répondre.

L’acquisition d’un écran géant LED est un investissement important pour une entreprise ou une organisation. Il est donc crucial de prendre en compte tous les délais liés à ce projet d’écran LED pour éviter les surprises et les retards. Dans cet article, nous allons explorer les différents délais liés à la conception de l’écran. Nous allons également faire le point sur le délais annexes comme celui de livraison ou ceux liés à la maintenance. En comprenant tous les délais impliqués, vous serez en mesure de planifier efficacement votre projet et de l’exécuter avec succès. Les délais liés à la conception de l’écran LED Les délais pour avoir un écran géant LED dépendent de plusieurs facteurs techniques. On peut citer la taille de l’écran, la résolution, et autres options. Un autre facteur important va impacter le temps de réception sa provenance. La complexité technique de l’écran Tout d’abord, il est important de noter que le délai de production de l’écran géant LED varie en fonction de sa taille et de sa complexité. Les écrans de petite taille peuvent être produits plus rapidement que les écrans de grande taille. En effet, ils nécessitent moins de composants. Les caractéristiques techniques souhaitées pour l’écran géant LED peuvent également affecter les délais. Les écrans LED à haute résolution, par exemple, peuvent nécessiter des composants plus avancés et un temps de production plus long. À cela s’ajoute également tout la phase de tests de conformité. Sa provenance Enfin la provenance de l’écran, va jouer sur le délai de réception de votre écran. Pour la conception d’un écran sur-mesure par un fabricant en France comme nous, le délai est estimé entre 10 et 16 semaines selon le projet, livraison inclus. Dans le cadre d’importation d’écran LED d’un grand fabriquant, généralement Chinois, ce sera surtout la livraison qui impactera le délai. En effet sur des tailles d’écran standards ils sont fabriqués en série et peuvent être expédiés rapidement. On estime le temps de réception à 1 mois et demi 2 mois. Ce délai peut être beaucoup plus long dans le cadre de problème d’approvisionnement et de transport internationaux. Les délais cachés : ce qu’il faut savoir avant d’acheter un écran LED géant Le financement Outre les délais de fabrication de l’écran LED, il est important de prendre en compte d’autres délais liés l’obtention de votre écran géant. Tout d’abord, il y a les délais de validation de financement. Ceux-ci qui peuvent varier en fonction des modalités de financement choisies. Il est important de les anticiper pour ne pas ralentir le processus d’acquisition de l’écran. Dans le cadre d’une location financière avec nos partenaire ces délais de de validation sont de 24 à 48h. La conception des structures Ensuite, il y a les délais de fabrication des structures de pose, tels que les supports et les cadres de fixation. Ces éléments sont indispensables pour une installation efficace de l’écran. Ces délais pourront être d’autant plus long dans le cadre d’installation complexe. Cependant les structures sont généralement conçues en parallèle de l’écran. Donc les délais ne s’additionnent pas ou peu. C’est moins le cas pour des écrans d’import, où les structures ne sont pas toujours prévues avec. La maintenance Ce point s’applique certes une fois l’écran acquis mais tous les fournisseurs n’offrent pas la même réactivité et cela peut donc intervenir dans votre choix. Il est également important de prendre en compte les délais liés à la maintenance de l’écran. Les écrans LED nécessitent bien que résistants peuvent nécessiter ponctuellement d’opérations de maintenance. Dans notre cas il nous faudra 24 à 72h pour intervenir. Cela peut être encore plus rapide avec la télémaintenance. Cependant ça peut aussi être plus long s’il nous manque une pièce précise. Il faut alors compter une dizaine de jours. Les durées de garanties Enfin, bien qu’il ne s’agisse plus de délais mais de durée, ce point peut également intervenir dans votre choix. En effet, il est important de prendre en compte la durée de garantie de l’écran. Les écrans LED sont des investissements. Il est donc important de s’assurer qu’ils sont couverts par une garantie suffisante pour assurer une protection contre les défauts de fabrication ou les problèmes de fonctionnement. De manière générale les garanties proposées sont de 2 à 3 ans, chez Winlight sur nos solutions haut de gamme nous proposons une garantie 5 ans. L’importance de la planification dans l’acquisition d’un écran géant LED Pour conclure, l’acquisition d’un écran géant LED n’est pas un processus simple et rapide. Il est important de prendre en compte les différents délais qui peuvent impacter la mise en place de votre projet. Que ce soit les délais de livraison, de validation de financement, de fabrication ou encore de maintenance, tous ces éléments doivent être pris en considération dès le début de votre projet pour éviter toutes surprises et garantir un déploiement réussi. On estime donc entre 2 et 4 mois de délais entre la signature du devis et l’installation de l’écran selon le projet et le fournisseur. En choisissant un partenaire expérimenté et fiable, vous pouvez être assuré que tous ces délais vous seront communiqués et que votre écran géant LED correspondra à votre besoin. En tant que concepteur d’écran nous pouvons vous renseigner dans votre projet. Nous nous déplaçons également à votre rencontre pour en discuter. N’hésitez pas à nous contacter.

La résolution d’un écran est une caractéristique importante dans le choix de sa solution. Permet-il d’afficher des images en HD, en 4K UHD voir en 8 K ? Cependant, un écran LED ne fonctionne pas exactement de la même manière qu’un écran standard LCD. Le rapport à la résolution en est donc modifié et évalué différemment. Résolution VS définition, siginification des termes Quand on parle de la qualité d’image d’un écran, deux termes sont souvent utilisés et confondus entre eux : la définition et la résolution. Pourtant, il existe de petites différences entre ces deux caractéristiques. Celle, la plus, courante est la définition. La définition La définition d’un écran détermine le nombre de pixels présent à l’écran. Elle se calcule en mesurant le nombre de pixels horizontaux et verticaux. On obtient ainsi les standards connus du grand public, le HD pour une définition de 1920 par 1080 pixels et le 4k UHD en 3 840 par 2 160 pixels. Elle n’est en rien liée à la taille de la dalle. En effet, il existe des écran HD de toutes les tailles. La résolution La résolution fera quant à elle référence à la densité de pixel. Elle fait donc le rapport entre la définition et la taille de l’écran. On l’exprime généralement en pixel par pouce ou Dot per Inch (DPI). Ainsi, plus ce nombre sera élevé plus la densité de pixel sera importante. Cette notion ne s’applique pas seulement à un écran, mais est également valable pour qualifier une image. Elle est notamment importante dans le monde de l’impression. Ainsi un écran 4k de 120 cm de diagonal n’aura pas la même résolution qu’un écran 4k de 80cm de diagonale.  C’est donc la résolution qui aura un effet sur le confort de lecture. En effet, comme cette notion est en lien avec la taille de la surface d’affichage elle impactera par conséquence la taille des pixels pour couvrir cette surface. C’est pourquoi sur un écran faible résolution il y a une plus grande probabilité de voir les pixels. Cependant, cela sera à évaluer comparativement à la distance de lecture. En effet, plus un écran sera visible de près, plus il aura besoin d’afficher des pixels fins et donc de proposer une haute résolution, et vice-versa. Cas des écrans LED, lien et différences entre pixel et PITCH Une des caractéristiques majeures d’un écran LED est son pitch. Il aura un impact important sur le rendu visuel de l’image en fonction de la distance de visibilité. Comme évoqué précédemment, un pixel représente un point lumineux, une information composant une image. À l’écran, on le résume à une information lumineuse composant la dalle d’affichage. Généralement, sur un écran LED, chaque Pixel est représenté par une LED. Cela peut varier avec la notion de pitch virtuel. Le pitch d’un écran géant correspond quant à lui à la distance entre le centre de chaque LED, horizontalement et verticalement. Concrètement, c’est donc la distance qui sépare chaque pixel. On l’appelle également, pixel pitch. Le Pitch sera donc en corrélation directe avec la densité de pixel et donc la résolution de l’écran.  En effet, plus le pitch sera grand, plus il y aura de distance en les LED. Donc il en faudra moins pour couvrir une surface. Inversement, plus le pitch sera fin plus la densité de LED sera importante. Comment se traduit la résolution d’un écran LED Le pitch influencera donc directement le nombre LED et donc de pixel présent sur l’écran LED. Ors, on ne détermine pas le pitch d’un écran dans un objectif d’obtenir une certaine définition. En effet, on détermine le pitch afin que la résolution de l’écran corresponde à sa distance de visibilité. Un écran vu à 6-10 m n’aura pas besoin d’avoir une image aussi fine qu’un écran vu à 1 ou 2 m de distance. C’est pourquoi la résolution d’un écran LED est très variable d’un écran à l’autre. Celle-ci est par ailleurs rarement corrélée à la taille de l’écran. En effet, un écran de grande taille est généralement fait pour être vu de loin et aura, dont un pitch plus large. Par exemple, un écran de 6 m² en P6 a généralement une définition de base de 500px/333px et une résolution 27 750 px/m². Il est cependant possible d’y afficher des fichiers avec une résolution plus élevée, ceux-ci sont alors recalculé pour la diffusion à l’écran. Enfin, il est également possible d’obtenir de très hautes résolutions avec un écran LED. En effet les nouvelles solution mini LED et LED COB permettent la réalisation d’écran 4k voir 8 k, et ce, même au format téléviseur. Le tout en bénéficiant des autres avantages des écrans LED. L’écran LED une résolution fléxible pour une défintion adaptée On l’a vu, un écran LED ne se définit pas de prime abord par sa définition contrairement aux solutions LCD. On définira en premier le Pitch en fonction de l’installation et du type de visibilité souhaité. Il est ensuite possible d’affiner ce pitch afin d’obtenir une meilleure résolution. Cela aura alors également un impact sur le prix final et sur la consommation énergétique de l’écran.  C’est pourquoi nous veillons à toujours vous conseiller le pitch le plus adapté. Celui qui offrira à nos clients le meilleur équilibre entre qualité d’image et son budget. Si vous avez des projets ou des questions, nos équipes se feront un plaisir de vous répondre. sources : image, https://pixabay.com/images/id-7576994/article : Quelle différence entre définition et résolution d’écran ?

Un écran LED est quelque chose de complexe, mais dont la plus grande qualité est son côté modulaire. Il peut prendre toutes les tailles et toutes les formes. Cette caractéristique repose sur sa construction en plusieurs éléments imbriqués entre eux. On parle alors de box, de module ou encore de dalle LED. Ce sont les éléments de base de la conception d’un écran LED. Quelles différences y a-t-il entre eux, comment cela fonction et quel est l’intérêt de cette conception, sont les questions que nous allons aborder dans cet article. Définition et fonctionnement des notions de box, module et de dalle LED Un écran LED standard se compose donc de différents éléments. Tout d’abord, il y a la dalle LED qui va représenter l’espace affichage de l’image. Elle est souvent confondue à tort avec le module.  Un module sera le composant de base de la dalle. Il intègre tous les éléments de produire une image. Il est d’un format réduit généralement en 128 mm et 320 mm de côté et se compose sur une face des LED et de l’autre de la carte électronique qui va gérer leur affichage. On peut y ajouter des éléments notamment pour augmenter sa résistance ou encore son étanchéité. Les modules sont ensuite alors regroupés entre eux pour former des box.  Une box se compose généralement de 4 à 9 modules. Cependant, des variantes peuvent exister. En effet, les box peuvent être de différentes formes y compris en angle. Les box sont alors assemblées entre elles pour former la dalle LED. Deux types de connexion les relient ensuite en elles. Tout d’abord l’alimentation pour lui permettre de fonctionner, puis le câble de données qui transmet les informations de pilotage du media player.  Intéret de cette organisation On pourrait se demander de prime abord pourquoi ne pas fabriquer directement une dalle LED sans passer par la conception de modules et de box. Cependant ce fonctionnement imbriqué entre module et box offre de nombreux avantages. Cela offre tout d’abord plus de flexibilité d’installation. C’est grâce à ce fonctionnement par bloc qu’on peut réaliser des écrans complètement modulaires. De plus, cela offre plus de stabilité de connexion avec des circuits électroniques plus court. En effet, cela réduit les risques de chauffe grâce à une meilleure répartition. Enfin, l’atout majeur se situe au niveau de la maintenance. Bien qu’un écran LED soit généralement plus stable et possède une longévité plus importante (en moyenne 5 à 10 ans), cela permet en cas de panne sur une LED, ou une partie de l’écran de ne pas remplacer toute la dalle, mais bien que le module concerné. Répercution côté client Au final ces distinctions entre module, box et dalle LED n’a que peu de répercussion côté client. En effet, cela n’aura pas d’impact sur l’image globale finale. C’est-à-dire ce qui est affiché par la dalle. Cela permet juste de pouvoir réaliser des écrans réellement sur mesure. L’intérêt de comprendre ces nuances se situe dans la lecture de la fiche technique. En effet, le poids est donné généralement soi par mètre carré soit par box. On trouve généralement la résolution, soit pour un module, soit pour une box. Module, box, dalle vous savez tout ! Un écran LED se compose donc d’une dalle qui affiche l’image globale. Elle, est-elle même composée de box qui sont eux même composés de module. C’est au niveau de ces derniers que les LED sont pilotées pour composer l’image. Les différentes box et modules sont quant à eux pilotés au niveau du media player, pour recomposer l’image finale. Cependant, il existe des nuances et fonctionnements différents selon les produits. C’est le cas par exemple de notre X7-AIR. Connaitre ces éléments un grand pas vers la compréhension du fonctionnement d’un écran LED, mais pas nécessaire coté client. En effet, le résultat sera le même. Vous aurez la solution d’affichage dynamique souhaité. Vous pourrez profiter de la grande liberté de réalisation offerte par les solutions LED. Ce fonctionnement modulaire permet de réaliser des écrans de toutes tailles et toutes formes. Si vous avez un projet d’écran ou des question liées à leur fonctionnement, n’hésitez pas à nous contacter. Notre équipe se fera un plaisir de vous répondre.

L’argument du HDR est de plus en plus avancé dans le monde du multimédia. On le retrouve dans le cinéma, sur les téléviseurs, mais également dans le domaine du jeu vidéo et désormais sur les smartphones. Cet acronyme fait référence en effet, à une meilleure qualité d’image, mais que signifie-t ‘il réellement ? Comment se traduit réellement cette qualité visuelle accrue. Définition et origine du HDR La dénomination de HDR nous vient de l’abréviation de l’anglais High Dynamic Range, traduit littéralement grande plage dynamique. Ce qui on vous l’accorde n’est pas très évocateur. Le HDR fait référence à un traitement de l’image afin qu’elle contienne plus de détails. Ce traitement est employé depuis des années dans l’univers de la photographie. Pour cela, il combinait plusieurs fichiers à exposition différente afin d’obtenir une image plus lumineuse et plus contrastée.  L’objectif du HDR appliqué aux écrans est le même, mais le procédé est différent. Le but étant de se rapprocher le plus possible de ce que perçoit l’œil humain. Pour cela, les écrans proposent un plus grand écart de luminance géré de manière dynamique afin que l’image contienne plus d’informations lumineuses. L’image est ainsi plus contrastée et plus colorée. On l’oppose désormais au SDR (standard dynamic range) pour le rendu des écrans classique et ancienne génération. La différence avec un traitement HDR de l’image Afin d’obtenir une image compatible HDR un écran va jouer sur deux facteurs principalement la luminance (en candela/m² ou en nits) ainsi que la colorimétrie. Un écran HDR doit pouvoir proposer une plus grande variation de luminosité à l’image. Selon l’Alliance UHD, il doit proposer un pic de luminosité d’au moins 1000 nits pour des noirs quasi-complets à moins de 0,5 nits. En SDR, le pic est environ à 120 nits. Ceci permet d’offrir plus de différence d’intensité lumineuse. La lumière issue du rayon du soleil traversant une fenêtre ne sera la même que celle d’un éclairage artificiel à l’image.  De plus, ce plus grand niveau de gestion de la lumière permet également de mieux travailler les tons sombres. Les scènes dans l’obscurité seront donc plus détaillées. On obtient ainsi moins de zones surexposées, de zones bouchées et ou de noirs ternes. Enfin, le traitement HDR de l’image intervient également sur sa colorimétrie. En effet toujours selon l’UHD Alliance un écran dit HDR doit pouvoir proposer l’intégralité des couleurs situées à l’intérieur du triangle gamut au moins 25% plus étendu qu’en SDR. Un écran avec mention n’offre pas seulement plus de saturation, mais également plus de nuances et de teintes. Un véritable atout ou Argument commercial La problématique avec la diffusion en HDR est que tous les éléments de la chaîne doivent être compatibles. Cela implique que non seulement l’écran doit pouvoir proposer l’affichage HDR, mais que la conception du fichier le soit également. Fort heureusement, actuellement, on conçoit majoritairement les médias en HDR. Les derniers en dates sont ailleurs les jeux vidéo. Lorsque qu’un média est diffusé en HDR, on obtient un reel gain en qualité d’image comme évoqué précédemment. Cependant, il existe actuellement plusieurs normes HDR avec un manque de réglementation. Ceci peut donc être difficile à aborder pour les consommateurs. Certains fabricants en profitent d’ailleurs et utilise la mention HDR à but purement commercial. Dans ce cas, elle indique principalement que l’écran est capable de recevoir des sources en HDR, mais sans forcément en proposer le niveau de qualité d’image. Les performances finales peuvent ainsi varier du simple au double, surtout en matière de luminosité entre deux écrans comportant cette mention. L’Ultra HD Alliance qui unit plusieurs fabricants et des professionnels du monde du cinéma se sont par ailleurs mis d’accord sur certaines normes, l’HDR10 et l’HDR10+. Celles-ci garantissent le niveau de qualité attendu pour un écran dit HDR. LE HDR appliqué aux écran LED Si l’on se base sur les critères de luminance, d’origine les écrans LED sont compatibles HDR. En effet, les écrans LED sont reconnus pour leur haut niveau de luminosité. Cependant, le facteur limitants fut la capacité à lire les sources. De plus, c’est seulement avec le développement des LED nouvelle génération, SMD et COB, qu’elles sont capables de produire beaucoup plus de nuances de couleurs. Depuis quelques années maintenant les écrans LED à pitch fin et ultra haute définition sont capables de produire des images en HDR. Le système de pilotage des LED traduit les sources pour qu’elles reproduisent toutes les nuances visuelles du média. En effet, les solutions LED sont techniquement les meilleures solutions pour proposer le niveau de contraste et de couleurs nécessaire à ce type de rendu. LE HDR vers une nouvelle norme La production de médias en HDR est de plus en plus fréquente. En effet, le rendu visuel est tel que les consommateurs comme les fabricants le plébiscite. C’est donc devenu un argument de vente différenciant et pouvant attester de la qualité d’image produite. Cependant face à la multiplication des normes et du flou autour de cette mention nous vous recommandons d’être attentif au niveau de luminosité et de couleur proposé par l’écran.  Chez Winlight, nous sommes experts de l’écran LED. Nous vous proposons des solutions d’écran compatibles HDR au sein de notre gamme WinCine. Nos écrans utilisent le meilleur de la technologie LED COB pour produire une qualité d’image époustouflante. Si vous avez des questions ou un besoin, n’hésitez pas à nous contacter nos équipes se feront un plaisir de vous renseigner.

Le terme d’écran LED revient de plus en plus souvent quand on parle de solutions d’affichage. La difficulté réside dans le fait qu’il peut parfois faire référence à deux outils différents dans un souci de simplification. En effet, il ne faut pas confondre écran LED et téléviseur LED ou LCD LED. Comme nous l’avons déjà évoqué dans d’autres articles, ce sont deux solutions différentes avec un fonctionnement très différents également. Ici, nous allons nous attacher à ce qu’est un écran à LED en tant que tel, comment ça fonctionne et quels sont ses avantages. Qu’est ce qu’un écran à LED Ce type d’écran est défini par l’utilisation des LED en tant que composant direct de l’image. Celles-ci qui vont jouer le rôle de pixel ou de sous-pixel. Ces LED peuvent prendre plusieurs formes selon la taille et la résolution de l’écran : DIP, SMD, COB ou encore MicroLED. Elles sont ensuite associées pour composer des modules qui sont assemblés pour former des écrans. Ils ne sont donc pas dépendants d’une vitre de diffusion. C’est pourquoi il est possible de réaliser des écrans LED de toute taille et de toute forme. De plus, les écrans LED sont des écrans dits émissifs. Cela signifie que c’est l’image elle-même qui émet de la lumière. À l’inverse des solutions LCD, comme les téléviseurs LED, dont le mode de fonctionnement est dit passif ou par diffusion. Dans ce cas, les LED sont ici utilisées à des fins de rétroéclairage dont la lumière est ensuite polarisée. Ils ont donc besoin d’une plaque de diffusion. Cette différence de fonctionnement, influencera beaucoup la luminosité de l’écran, mais également la qualité de l’image finale. Un écran LED, comment ça marche ? Comme évoqué, précédemment, le fonctionnement d’un écran géant LED repose sur l’assemblage de module LED. Ces modules sont ensuite regroupés en box dotée de carte de pilotage. Elles sont chargées de gérer l’animation des LED pour composer l’image. On effectue alors un mapping des box afin de déterminer quelle partie de l’image chacune d’entre elles doit afficher. Enfin, comme pour tout écran, la solution LED doit ensuite être reliée à une source. Selon l’utilisation prévue, cette source pourra être, une clé USB, un PC muni d’un logiciel de pilotage, un décodeur, etc.  Les avantages offerts par ces écrans Les écrans LED, grâce à leur structure particulière offrent de nombreux avantages. Tout d’abord, ils ne sont pas dépendants d’une dalle à cristaux liquides. Ils offrent donc une extrême modularité de taille et de forme. Historiquement utilisés pour les écrans géants, ils peuvent désormais être utilisés pour des formats plus réduits comme des téléviseurs.  De plus, la particularité d’être un écran émissif permet à cette solution d’offrir une qualité d’image supérieure. En effet, il est possible de piloter chaque pixel individuellement. Les écrans LED offrent ainsi une profondeur de contraste plus importante et une palette de couleurs plus large et plus vive. Par ailleurs, ils offrent une meilleure luminosité et ne sont pas sensibles à l’effet de reflet. Enfin, comme il n’y a pas de dalle de diffusion, il n’y a pas de soucis de rémanence de l’image. La LED est soit allumée soit éteinte. Du coup, c’est quoi un écran LED ? Un écran LED est donc une solution de diffusion émissive ou chaque LED joue le rôle pixel, ou de sous-pixel. Il offre l’avantage de s’affranchir des contraintes du LCD pour offrir plus de flexibilité et une meilleure qualité d’image. C’est une solution complètement modulaire qui permet à l’écran de pouvoir être assemblé ou divisé. Ces solutions ont longtemps été limitées par la taille des LED qui ne permettaient pas les résolutions fines. Ainsi, ils étaient principalement utilisés pour la réalisation d’écran géant. Cependant le progrès récent dans les solutions microLED et COB permettent de proposer aujourd’hui des écrans LED qui rivalisent, voir supplantent le LCD sur les plus petits formats. Si ces solutions sont encore onéreuses, elles vont sans nul doute se démocratiser dans les années à venir. Les écrans LED devraient donc peu à peu investir les foyers. Pour découvrir toutes nos solutions d’écran LED hésitez pas à parcourir notre site !